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Nouvelles Technologies

Les 10 actualités du digital qu’il ne fallait pas manquer cet été !

10/09/2023

Les 10 actualités du digital qu’il ne fallait pas manquer cet été !

L'été offre l'opportunité de se déconnecter et de recharger ses batteries après des mois de travail intense. Cependant, l'univers digital continue de progresser à un rythme soutenu. Comme chaque été, il est essentiel de rester au fait des développements majeurs. Voici un aperçu des 10 actualités du domaine digital qui ont marqué cette saison estivale, afin de bien se préparer pour la rentrée. Au cours des derniers mois, de nombreux événements ont façonné le paysage numérique, et si vous avez loupé quelques infos, en voici un résumé. 

 

Un Nouveau Nom pour Twitter

 

Le 23 juillet, Elon Musk a surpris le monde en annonçant le changement de nom de Twitter qui devient désormais "X". Cette décision abrupte a suscité des débats quant à sa pertinence, étant donné l'identité forte du réseau social. En plus du changement de nom, les termes familiers tels que "tweets" ont été remplacés par "X", et les "retweets" par "reposts". Toutefois, des inquiétudes ont émergé concernant la légalité du nouveau logo utilisant un caractère unicode. Durant l'été, les décisions controversées de la plateforme ont suscité des critiques, notamment des limitations de lecture quotidienne des tweets, des ajustements au modèle de monétisation, et la suppression de la fonction de blocage.

 

 

Meta Introduit Threads

 

Meta n'a pas tardé à saisir l'opportunité créée par les changements chez Twitter. En juillet, la société mère de Facebook a lancé Threads, son propre réseau social de microblogging pour concurrencer Twitter. En seulement une semaine après le lancement, Threads, connecté à Instagram, a attiré l'attention de plus de 100 millions d'utilisateurs. Cependant, les critiques ont souligné l'absence de fonctionnalités essentielles comme une messagerie intégrée. Bien que l'application ait rencontré un succès initial, le nombre d'utilisateurs actifs est progressivement retombé à 8 millions, incitant Threads à incorporer de nouvelles options telles qu'une version web.

 

WhatsApp Passe aux Messages Vidéo

 

En plein été, WhatsApp a ajouté la possibilité d'envoyer des messages vidéo chiffrés de bout en bout, d'une durée maximale de 60 secondes. L'option, accessible en appuyant sur l'icône de la caméra dans l'application, nécessite que les deux parties aient la dernière version de WhatsApp pour fonctionner.

 

Google Bard Débarque en France

 

Après avoir lancé Bard aux États-Unis et au Royaume-Uni en mars dernier, Google a finalement introduit son alternative à ChatGPT, Bard, en Europe, y compris en France. Ce chatbot, similaire à ChatGPT d'OpenAI, offre des fonctionnalités étendues telles que la possibilité d'éditer les prompts et d'utiliser la saisie vocale. Cependant, les performances de Bard ont été critiquées pour leur taux d'erreurs supérieur à celui de ChatGPT.

 

Évolutions pour ChatGPT

 

ChatGPT a connu une période estivale mouvementée, marquée par des baisses de trafic et le retrait de l'option "Browse with Bing" en raison d'abus. Cependant, l'IA a continué de progresser, avec l'introduction du plugin Code Interpreter pour les abonnés ChatGPT Plus, permettant à l'IA de rédiger et manipuler du code en Python. De plus, de nouvelles fonctionnalités ont été ajoutées, comme la personnalisation des instructions et des prompts. Une application ChatGPT pour Android a également été lancée, en plus de la version iOS.

 

Canaux de diffusion sur Instagram

 

En début d'été, Instagram a étendu la fonctionnalité de canaux de diffusion à l'échelle mondiale. Inspirée par Telegram, cette fonction permet aux créateurs de lancer des discussions verticales avec leur communauté, renforçant ainsi les liens et la proximité entre eux et leurs abonnés.

 

Refonte de l'Algorithme LinkedIn

 

LinkedIn a constaté une diminution de la qualité des contenus partagés sur sa plateforme, et a donc décidé de réviser son algorithme pour mettre en avant des publications plus pertinentes. Les publications d'utilisateurs que vous suivez sont désormais mises en avant, ainsi que les contenus à forte valeur ajoutée. Certaines fonctionnalités moins populaires ont été supprimées, tandis que de nouvelles options telles que la création de newsletters ont été ajoutées.

 

Fin des Skyblogs de Skyrock

 

Le 21 août 2023, les skyblogs de Skyrock ont définitivement fermé leurs portes, en raison de contraintes légales liées à la protection des données personnelles. Les skyblogs, pionniers des réseaux sociaux, ont été relégués aux archives nationales pour la postérité.


Python Intégré à Excel par Microsoft

 

Les utilisateurs expérimentés d'Excel peuvent désormais intégrer directement Python dans le tableur grâce à un partenariat entre Microsoft et Anaconda. Cette intégration facilite les tâches de visualisation, de nettoyage de données, de machine learning, et d'analyse prédictive.

 

Mise en Application du DSA

 

Le Digital Services Act (DSA), lancé en 2020 et adopté fin 2022, est entré en vigueur le 25 août 2023. Cette réglementation européenne vise à réguler les pratiques des géants du web pour garantir des contenus conformes et empêcher la propagation de contenus illégaux ou haineux. Les réseaux sociaux (TikTok, Facebook, Instagram et Snapchat) ont par exemple dû apporter des modifications pour se conformer à cette nouvelle réglementation.

 

Auteur : Manon Couve

Sources : https://www.blogdumoderateur.com/ 

Le comportement des consommateurs en ligne : Le rapport mondial 2022 ChannelAdvisor

13/11/2022

Le comportement des consommateurs en ligne : Le rapport mondial 2022 ChannelAdvisor

SOMMAIRE DE L'ARTICLE

 

Le comportement des consommateurs en ligne a radicalement pris un virage avec l’avènement des réseaux sociaux. Pour les marques, il s’agissait pour elles de l’opportunité de se rapprocher du consommateur, en créant des espaces conversationnels pour mieux répondre à leurs besoins et leurs attentes.

 

Les communautés établies au sein des réseaux sociaux comme les groupes d’échanges, ont ainsi permis de mieux connaitre le consommateur et d’interagir en direct avec lui. De là sont nés de très nombreux métiers visant à améliorer l’expérience client au sens large du terme ; community management, webmarketing, data analyst etc.

 

Le e-commerce a littéralement explosé durant toutes ces dernières années et il a même vu un pic considérable être atteint lors de la crise du Covid, notamment pour des acteurs phares comme Amazon.

 

Le rapport mondial 2022 de ChannelAdvisor

Afin de mieux comprendre le consommateur et d’améliorer sa qualité de service, les marques peuvent se tourner vers des études solides en la matière. On sait que la crise a considérablement impactée les consommateurs dans leurs habitudes d’achats et notamment en ligne.

 

Ce fut une véritable période pivot pour le e-commerce où il était question de se réinventer pour certains acteurs, d’innover pour d’autres et surtout de suivre un rythme soutenu du fait d’un net replis sur Internet. Il apparaissait donc opportun de suivre ces évolutions et de dresser un portrait du consommateur au fil des années.

 

C’est alors l’occasion d’introduire le rapport mondial 2022 sur le comportement des consommateurs en ligne. Un rapport initié par ChannelAdvisor* qui traite des principales tendances en matière d’achats en ligne. Il fait suite à un sondage réalisé auprès de plus de 5000 acheteurs en ligne, actifs sur les pays suivant :

  • Etats-Unis (1002)
  • Royaume-Uni (1000)
  • France (1001)
  • Allemagne (1005)
  • Australie (1001)

* leader en technologie e-commerce depuis 2001

 

La répartition des consommateurs interrogés par tranche d’âge

Les consommateurs interrogés couvrent l’ensemble des tranches d’âges de manière assez équilibrée, avec un pic chez les séniors qui représente 933 personnes sur l’échantillon.

 

5 tendances issues du rapport mondial 2022 ChannelAdvisor

Abordons ci-après 5 points que l’on retrouve au sein du rapport, que vous pouvez télécharger via l’encart ci-dessus. Rappelons que le rapport mondial 2022 de ChannelAdvisor propose une étude complète, abordant les nombreux aspects du e-commerce rapportés au consommateur. Le rapport est riche en informations et il est ponctué de nombreuses infographies.

 

Amazon : Le premier canal d’information produit !

Ce n’est un secret pour personne ! Amazon est incontestablement le pure player qui tire le e-commerce vers le sommet et qui propose l’un des meilleurs services client à ce jour, notamment pours les utilisateurs abonnés à leur service Prime. On peut lui rapprocher son équivalent en Chine, à savoir Alibaba, un autre mastodonte du e-commerce en Asie.

 

Si Amazon reste la référence du e-commerce, on ne sera pas surpris qu’il est le premier canal d’information sur les produits pour les consommateurs. Ainsi ils vont rechercher les informations, directement sur la marketplace Amazon au dépend d’un moteur de recherche. A ce stade on pourrait presque dire qu’il endosse ce rôle auprès des acheteurs en ligne.

 

Sur les 6 pays représentés au sein du rapport, tous utilisent majoritairement Amazon à ce titre, sauf l’Australie où le consommateur privilégie encore le moteur de recherche Google.

Nous sommes ici dans le début du parcours d’achat client.

 

Lorsque vous allez en ligne pour acheter des produits, où commencez-vous votre recherche de produits ?

 

La popularité des marketplaces continue d’augmenter

Si les grosses marketplaces ont les budgets pour communiquer massivement, qu’il s’agisse de display ou d’une stratégie social media solide, ils bénéficient dés lors d’une meilleure popularité. Portées par la visibilité de leur actions en ligne, mais pas que, les marketplaces enregistrent une forte croissance au niveau mondial. Rappelons que les marketplaces majeures proposent toutes une application mobile, passent par du ads et sont très actives sur les réseaux sociaux.

 

A l’aube du black friday auquel succédera le cyber monday, c’est une course effrénée qui opposera des actions où de forts budgets seront engagés. Ce qui contribue nettement à mettre les marketplaces sur le devant de la scène et à gagner au fil des années cette popularité.

 

Ainsi les consommateurs ont le choix et à ce titre, ils n’hésitent pas à utiliser plusieurs marketplaces pour faire leurs recherches et acheter leurs produits.

  • 76 % des consommateurs tendent à utiliser régulièrement plusieurs marketplaces pour naviguer ou faire des
    achats,
  • 82 % des 18-35 ans contre 64 % des 65 ans et plus utilisent plusieurs marketplaces, ça diminue avec l’âge des personnes interrogées,
  • 21 % des consommateurs à l’échelle mondiale utilisent régulièrement 3 marketplaces et 16 % en utilisent 4 ou plus.

 

Le nombre de touchpoints numériques augmente

Les touchpoints sont les différents points de contact de nature promotionnelle (commercial, publicité, social) qui permettent de créer le lien entre la marque et les consommateurs. Ils sont utiles à plusieurs niveaux, dans la mesure où les consommateurs peuvent faire face à plusieurs freins et où les besoins et les attentes différeront.

 

C’est ainsi que l’on peut analyser le comportement des consommateurs et mieux comprendre leurs besoins. De même que le niveau de satisfaction client qui en résulterait. Plus un consommateur utilisera de touchpoints, plus il sera intéressant d’en déterminer les raisons pour mieux le satisfaire.

 

Combien de marketplaces avez-vous l’habitude d’utiliser pour rechercher ou acheter des produits ?

  • 82 % des consommateurs (toutes géographies confondues) utilisent plusieurs touchpoints numériques lors de leur parcours d’achat,
  • 70 % des consommateurs utilisent 2 à 4 touchpoints lors de leur parcours d’achat,
  • 12 % des consommateurs utilisent 5 touchpoints ou plus lors de leur parcours d’achat,
  • Les personnes interrogées qui n’effectuaient pas d’achats en ligne avant l’épidémie de COVID-19 (environ 4 % des participants) sont plus susceptibles de ne visiter qu’un seul site avant d’acheter un produit.

 

Le click & collect va se maintenir

Si le click & collect a réellement connu son succès durant la crise, il s’est bien maintenu après et poursuit sur sa lancée. Instauré il y a plus de 12 ans par Darty, le click and collect consiste à commander un produit en ligne et à venir le retirer en point de vente. De multiples avantages se dégagent de ce procédé, comme le gain de temps lors d’un passage en magasin, et indirectement le moyen de le faire connaitre par la même occasion.

 

De plus on évite généralement les frais de port, quand ils ne sont pas minimisés sur la distance entre un point de vente et sa centrale d’achat. La commande est prête et n’a plus qu’à être retirée comme on pourrait le faire à la poste.

C’est néanmoins la crise sanitaire rencontrée qui a permis à de nombreux commerces de continuer à fidéliser leur clientèle, en offrant cette solution. Faire le lien entre le site e-commerce et le point de vente offrait la possibilité de garder le contact avec ses clients et de ne pas perdre le bénéfice de ses actions de communication entres autres.

 

Au cours des 12 derniers mois, avez-vous utilisé des options Achat en ligne, récupération en magasin (ou récupération à l’extérieur du magasin) lors d’achats en ligne ?

 

Les adeptes du click & collect ont clairement été les Etats-Unis et l’Australie, avec respectivement 57% et 54% des consommateurs qui ont eu recours au retrait magasin. La France enregistre un petit 42% avec l’Allemagne qui est nettement en retrait avec seulement 19%

 

Pourcentage de 26-35 ans qui ont utilisé l’option de retrait en magasin (ou en point relais) au cours des 12 derniers mois :

 

Focus sur les jeunes de 26 à 35 ans qui ont opté pour le retrait de leurs achats en magasin. On voit clairement ci-dessous qu’ils sont les premiers à faire appel à ce levier. L’Allemagne reflète de nouveau un faible pourcentage sur ce segment de consommateurs, face aux autres qui sont plus à même d’avoir recours au click and collect au travers des autres pays représentés.

 

Ce sont notamment aux Etats-Unis que les 26-35 ans étaient les plus actifs pour recourir au retrait magasin. La France enregistre un 49%, en deçà face au Royaume-Uni et à l’Australie.

 

Le Retail Media est essentiel pour être visible

Dernier point abordé, le Retail Media, représentant les actions de communication promotionnelles (publicité) sur les lieux de vente ou en ligne, et plus précisément au travers du parcours client en règle générale. On peut donc évoquer l’influence directe de la publicité sur le consommateur pour encourager l’acte d’achat. Amazon étant un précurseur en matière avec de gros moyens.

 

Ainsi au sein de la marketplace Amazon on peut découvrir des produits sponsorisés mis en avant, tel que sur un moteur de recherche comme Google avec ses annonces en entête des résultats de recherche. Ici il s’agit de voir que le consommateur use aussi d’une marketplace comme moteur de recherche, et qu’il peut être influencé par des annonces directes sur la plateforme.

 

Voyons du côté consommateur, si Amazon et ses annonces sponsorisées ont eu un impact avéré.

 

Avez-vous déjà acheté un article sur Amazon après avoir vu une publicité pour ce produit sur Amazon ?

  • 48 % des consommateurs aux États-Unis et en Europe ont acheté un article sur Amazon après avoir vu une publicité pour ce produit sur Amazon,
  • 57 % des consommateurs aux États-Unis ont acheté un article sur Amazon après avoir vu une publicité pour ce produit sur Amazon.

 

Au cours des 12 derniers mois, avez-vous cliqué sur un produit sponsorisé sur une marketplace ou un site e-commerce ?

 

L’impact publicitaire est tout de même avéré et démontre que c’est un puissant levier à actionner pour influencer l’acte d’achat et faire connaitre des produits. Les résultats montrent des taux de 30% à 50% sur l’impact positif de la publicité. Il y a donc un fort potentiel à exploiter et à encore affiner pour améliorer la conversion.

 

En résumé

 

Le rapport ChannelAdvisor 2022 sur le comportement des consommateurs en ligne, soulève ainsi de nombreux aspects pour aider et accompagner les entreprises dans leurs choix et leurs stratégies en e-commerce. N’hésitez pas à le télécharger pour prendre connaissance de toutes les précieuses informations à votre disposition.

Google repousse la fin des cookies tiers à 2024 : ce qu’il faut savoir

31/07/2022

Google repousse la fin des cookies tiers à 2024 : ce qu’il faut savoir

Initialement, Google avait prévu de mettre fin aux cookies tiers en 2022, puis avait pris la décision de repousser l’échéance à fin 2023. Le géant américain prévoit désormais une suppression des cookies tiers pour mi-2024. Google peine à faire avancer son projet Privacy Sandbox. Pour rappel, l’objectif final est d’éliminer les cookies tiers en les remplaçant par de nouvelles méthodes de ciblage garantissant la confidentialité des utilisateurs.

 

Pourquoi Google repousse encore la fin des cookies tiers

 

Depuis plusieurs mois, Google déploie des APIs de Privacy Sandbox sur Chrome en version d’essai pour que les développeurs puissent les tester. Parmi ces APIs, on retrouve notamment : Google Topics, sa dernière méthode de ciblage publicitaire visant à remplacer FLoC. Pour rappel, la méthode FLoC fût la première proposition de Google pour remplacer les cookies tiers, elle fût très controversée et suscita de vives réactions de la part des acteurs de la tech, ce qui freina inévitablement l’avancée du projet Privacy Sandbox. Au final, la firme décida d’abandonner FLoC en janvier 2022.

 

Dans son blog post publié hier, Google indique travailler avec de nombreuses parties prenantes : développeurs, éditeurs, spécialistes du marketing, autorités de régulation via des forums comme la W3C… Un accord a même été conclu avec l’Autorité des marchés de la concurrence du Royaume-Uni (CMA) concernant le développement et le lancement de la Privacy Sandbox dans le monde entier. Mais tous ces acteurs de la tech ont besoin de plus de temps pour tester les nouveaux dispositifs (et s’assurer que la vie privée des utilisateurs est bien respectée…) : « Nombre de ces parties prenantes ont indiqué avoir besoin de plus de temps pour évaluer et tester les nouvelles APIs de la Privacy Sandbox avant la suppression des cookies tiers dans Chrome, ce qui est cohérent avec nos engagements vis-à-vis de la CMA. »

 

 

Ainsi, Google prolonge ses phases de tests des APIs de la Privacy Sandbox, ce qui repousse par conséquent la désactivation des cookies tiers sur Chrome.

 

Le nouveau calendrier de déploiement de Google

 

Google annonce de nouvelles échéances :

  • Début août 2022 : les essais de Privacy Sandbox seront étendus à des millions d’utilisateurs dans le monde (déploiement progressif jusqu’en 2023).
  • D’ici le troisième trimestre 2023 : les APIs de la Privacy Sandbox seront déployées et disponibles sur Chrome.
  • Pour mi-2024 : les cookies tiers seront définitivement supprimés sur Chrome.

 

Source : www.blogdumoderateur.com/

Date : 28/07/2022

Auteur : Estelle Raffin

L’usage des CRM en entreprises

24/07/2022

L’usage des CRM en entreprises

Qu’est-ce qu’un CRM ?
 

Un CRM (Customer Relationship Management) aussi appelé en français GRC (Gestion de la Relation Client) est un type de logiciel composé d’un ensemble de systèmes permettant de mettre en place une stratégie visant à développer et optimiser les interactions d’une entreprise avec ses clients et/ou prospects. Personnalisable, un logiciel CRM d’adapte chaque entreprise pour répondre à leurs besoins spécifiques et s’articule autour de 3 axes majeurs : la collaboration, l’analyse et l’automatisation.

 

Pourquoi les CRM sont-ils devenus indispensables pour les entreprises ?


Sa nature même repose sur l’amélioration de l’activité et de la productivité d’une entreprise. Il existe une multitude de logiciels CRM différents, les plus pertinents sont les « tout-en-un » qui permettent de centraliser toutes les informations dans un même espace. Concrètement, le recours aux outils CRM permet aux entreprises de centraliser et de segmenter leurs données. Tous les collaborateurs peuvent avoir accès aux informations quelle que soit leur localisation. Aussi, les petites tâches répétitives du quotidien ou chronophages pourront être automatisées pour permettre aux salariés de se concentrer sur les plus importantes.

 

Il faut noter un autre grand avantage à l’utilisation d’un outil CRM. Il favorise une meilleure gestion de la relation client. L’entreprise utilisatrice pourra mieux cerner les besoins de ses clients grâce à la collecte et l’analyse d’informations liées aux consommateurs, elle pourra alors définir les démarches à adopter pour développer une relation durable avec sa clientèle.

 

Un outil CRM permet d’avoir accès à une vue 360 de la gestion de la relation client et des actions commerciales engagées. Il participe à une expérience client de qualité, à l’augmentation de vos ventes, à la fidélisation de vos clients et il peut également représenter un avantage concurrentiel.

 

TPE, PME, grands comptes, des avantages communs notoires


Les avantages pour les organisations à utiliser un logiciel CRM sont nombreux et notamment pour :

 

  • Gérer les contacts (clients et prospects),
  • Accroître la connaissance client,
  • Faciliter le suivi des leads,
  • Gérer des campagnes marketing,
  • Gérer le service client grâce à un support réactif,
  • Fidéliser les clients,
  • Gagner en productivité grâce à l’automatisation.
     

L’utilisation d’un outil CRM répond également à des besoins plus spécifiques. Dans ce sens, les TPE/PME se tourneront majoritairement vers un CRM pour ses aspects d’organisation et de gestion, tandis que les pour les grandes entreprises, l’intérêt à utiliser un CRM est principalement opérationnel pour construire une stratégie CRM solide avec des fonctionnalités qui ne sont pas limitées afin de répondre à des besoins importants. Ainsi, il faudra miser sur une solution qui propose des formules impliquant un nombre illimité d’utilisateurs, de contacts, d’entreprises, d’interactions et d’automatisations, entre autres.

 

Source :

www.blogdumoderateur.com/

www.quai-des-entrepreneurs.com/

La Cnil entame un contrôle sur le niveau de cybersécurité des sites web français

17/07/2022

La Cnil entame un contrôle sur le niveau de cybersécurité des sites web français

Des manquements ont été constatés sur le chiffrement des données et la traçabilité des connexions anormales aux serveurs. Ils ont trois mois pour se mettre en conformité. 

 

La Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) souhaite vérifier le respect du b.a.-ba de la sécurité informatique par les sites web. En 2021, elle en a contrôlé 21, dont 15 ont été mis en demeure, apprend-on ce 8 juillet. A noter que les défauts de sécurité des sites figurent parmi les manquements les plus souvent constatés et sont susceptibles de conduire à des violations de données personnelles. 
 

LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES DANS LE VISEUR


Les contrôles ont été menés en ligne et sur pièces, c'est-à-dire sur la base de documents transmis. L'identité des sites ciblés reste confidentielle. Seule information dévoilée par la Cnil : il s'agit aussi bien "d’organismes français du secteur public (communes, centres hospitaliers universitaires, ministères…)" que "du secteur privé (plateformes de e-commerce, prestataires de solutions informatiques...)". Elle précise également que ces contrôles ont eu pour but de "renforcer le niveau de sécurité des sites web édités par les collectivités territoriales". Ces dernières étant particulièrement visées par les ransomwares. 

 

Les principaux manquements concernent la robustesse du chiffrement des données. En effet, la Commission a constaté que de nombreux acteurs permettaient un accès non sécurisé (HTTP) à leur site web, mettaient en place des versions obsolètes du protocole TLS devant assurer la sécurité des données en transit, utilisaient des certificats et des suites cryptographiques non conformes pour les échanges avec les serveurs des sites contrôlés. 

 

La Cnil a également relevé un défaut de dispositifs permettant de tracer les connexions anormales aux serveurs ainsi le recours à des mots de passe insuffisamment robustes et des procédures permettant de les renouveler ne sécurisant pas suffisamment leur transmission et leur conservation.

 

TROIS MOIS POUR SE METTRE EN CONFORMITÉ


Les 15 sites web ont désormais trois mois pour prendre toute mesure permettant d'assurer un niveau de sécurité adapté. A défaut, elles risquent d'être sanctionnées au titre du Règlement général sur la protection des données (RGPD).

Même si elle ne le mentionne pas, il est fort à parier que la Cnil réitère cette procédure de contrôle pour vérifier le niveau de sécurit d'autres sites. Le travail va être dans tous les cas particulièrement fastidieux. Selon les chiffres communiqués par l'Association française pour le nommage Internet en coopération (Afnic), il y avait 3,67 millions de sites en .fr enregistrés à la fin de 2020. 

 

Source : www.usine-digitale.fr/

Date : 08/07/2022

Auteur : ALICE VITARD

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