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"Le multimédia à portée de tous"
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19/12/2022
Google vient d’annoncer un changement majeur pour mieux évaluer ses résultats de recherche et améliorer son système de classement : "E-A-T gagne un E : l’expérience. En plus de l’expertise, de l’autorité et de la fiabilité, le contenu démontre-t-il un certain degré d’expérience ?".
Le moteur de recherche précise ce qu’il sous-entend par « degré d’expérience » du contenu en livrant quelques exemples : contenu sur l’utilisation réelle d’un produit, compte-rendu d’une visite d’un lieu, partage d’expérience d’une personne… Google finit par conclure : « Dans certaines situations, ce que vous appréciez le plus, c’est le contenu produit par quelqu’un qui a une expérience directe du sujet en question. »
Ce nouveau concept E-E-A-T fait partie de la dernière mise à jour des « search rater guidelines » de Google, qui met en avant « l’importance du contenu créé pour être original et utile pour les gens. »
On fait le point sur le nouvel acronyme E-E-A-T de Google :
Pour rappel, voici le fonctionnement de Google :
Google va apporter plus d’importance à un contenu ayant un score élevé E-E-A-T surtout « lorsque le thème abordé peut avoir un impact significatif sur la santé, la stabilité financière ou la sécurité des personnes, voire sur le bien-être de la société dans son ensemble. »
Source : www.blogdumoderateur.com/
Auteur : Estelle Raffin
Date : 05/12/2022
27/11/2022
Dans un post, Google annonce la mise à disposition d’un nouveau guide qui vise à permettre aux créateurs de se familiariser avec les systèmes de classement des résultats de recherche. Ce guide répertorie les systèmes actuellement utilisés dans la recherche Google, accompagné d’une brève explication pour chacun d’entre eux. De plus, Google introduit une nouvelle terminologie en distinguant les « systèmes de classement » et les « mises à jour ».
« Dans le passé, le terme « mise à jour » a souvent été utilisé comme nom d’un système de classement particulier, notamment lorsqu’un nouveau système était déployé, explique Google, à l’avenir, nous serons plus précis dans notre formulation pour différencier les « systèmes » des « mises à jour ». Nous aurons toujours des mentions telles que « mise à jour du contenu utile » ou « mise à jour des avis sur les produits », mais lorsque cela sera possible, nous les expliquerons comme des mises à jour des systèmes respectifs, comme le « système de contenu utile » et les « systèmes d’avis sur les produits » . Nous actualiserons également nos pages d’aide pour refléter ce changement de terminologie au fil du temps ».
Ainsi, il convient de noter qu’un « système » fonctionne constamment en arrière-plan, tandis qu’une « mise à jour » désigne une modification ponctuelle des systèmes de classement. Par exemple, le système de contenu utile, Helpful Content Update, fonctionne toujours en arrière-plan lorsque Google fournit des résultats de recherche, bien qu’il puisse recevoir des mises à jour pour améliorer son fonctionnement. Les mises à jour de l’algorithme de base et les mises à jour contre le spam sont d’autres exemples de modifications ponctuelles des systèmes de classement.
Selon le guide, voici les systèmes de classement actuellement utilisés par Google, dont certains sont multiples et d’autres uniques :
Par ailleurs, Google signale que ces systèmes sont aujourd’hui obsolètes :
Source : www.blogdumoderateur.com/
Auteur : Héloïse Famié-Galtier
Date : 22/11/2022
13/11/2022
Le comportement des consommateurs en ligne a radicalement pris un virage avec l’avènement des réseaux sociaux. Pour les marques, il s’agissait pour elles de l’opportunité de se rapprocher du consommateur, en créant des espaces conversationnels pour mieux répondre à leurs besoins et leurs attentes.
Les communautés établies au sein des réseaux sociaux comme les groupes d’échanges, ont ainsi permis de mieux connaitre le consommateur et d’interagir en direct avec lui. De là sont nés de très nombreux métiers visant à améliorer l’expérience client au sens large du terme ; community management, webmarketing, data analyst etc.
Le e-commerce a littéralement explosé durant toutes ces dernières années et il a même vu un pic considérable être atteint lors de la crise du Covid, notamment pour des acteurs phares comme Amazon.
Afin de mieux comprendre le consommateur et d’améliorer sa qualité de service, les marques peuvent se tourner vers des études solides en la matière. On sait que la crise a considérablement impactée les consommateurs dans leurs habitudes d’achats et notamment en ligne.
Ce fut une véritable période pivot pour le e-commerce où il était question de se réinventer pour certains acteurs, d’innover pour d’autres et surtout de suivre un rythme soutenu du fait d’un net replis sur Internet. Il apparaissait donc opportun de suivre ces évolutions et de dresser un portrait du consommateur au fil des années.
C’est alors l’occasion d’introduire le rapport mondial 2022 sur le comportement des consommateurs en ligne. Un rapport initié par ChannelAdvisor* qui traite des principales tendances en matière d’achats en ligne. Il fait suite à un sondage réalisé auprès de plus de 5000 acheteurs en ligne, actifs sur les pays suivant :
* leader en technologie e-commerce depuis 2001
Les consommateurs interrogés couvrent l’ensemble des tranches d’âges de manière assez équilibrée, avec un pic chez les séniors qui représente 933 personnes sur l’échantillon.
Abordons ci-après 5 points que l’on retrouve au sein du rapport, que vous pouvez télécharger via l’encart ci-dessus. Rappelons que le rapport mondial 2022 de ChannelAdvisor propose une étude complète, abordant les nombreux aspects du e-commerce rapportés au consommateur. Le rapport est riche en informations et il est ponctué de nombreuses infographies.
Ce n’est un secret pour personne ! Amazon est incontestablement le pure player qui tire le e-commerce vers le sommet et qui propose l’un des meilleurs services client à ce jour, notamment pours les utilisateurs abonnés à leur service Prime. On peut lui rapprocher son équivalent en Chine, à savoir Alibaba, un autre mastodonte du e-commerce en Asie.
Si Amazon reste la référence du e-commerce, on ne sera pas surpris qu’il est le premier canal d’information sur les produits pour les consommateurs. Ainsi ils vont rechercher les informations, directement sur la marketplace Amazon au dépend d’un moteur de recherche. A ce stade on pourrait presque dire qu’il endosse ce rôle auprès des acheteurs en ligne.
Sur les 6 pays représentés au sein du rapport, tous utilisent majoritairement Amazon à ce titre, sauf l’Australie où le consommateur privilégie encore le moteur de recherche Google.
Nous sommes ici dans le début du parcours d’achat client.
Lorsque vous allez en ligne pour acheter des produits, où commencez-vous votre recherche de produits ?
Si les grosses marketplaces ont les budgets pour communiquer massivement, qu’il s’agisse de display ou d’une stratégie social media solide, ils bénéficient dés lors d’une meilleure popularité. Portées par la visibilité de leur actions en ligne, mais pas que, les marketplaces enregistrent une forte croissance au niveau mondial. Rappelons que les marketplaces majeures proposent toutes une application mobile, passent par du ads et sont très actives sur les réseaux sociaux.
A l’aube du black friday auquel succédera le cyber monday, c’est une course effrénée qui opposera des actions où de forts budgets seront engagés. Ce qui contribue nettement à mettre les marketplaces sur le devant de la scène et à gagner au fil des années cette popularité.
Ainsi les consommateurs ont le choix et à ce titre, ils n’hésitent pas à utiliser plusieurs marketplaces pour faire leurs recherches et acheter leurs produits.
Les touchpoints sont les différents points de contact de nature promotionnelle (commercial, publicité, social) qui permettent de créer le lien entre la marque et les consommateurs. Ils sont utiles à plusieurs niveaux, dans la mesure où les consommateurs peuvent faire face à plusieurs freins et où les besoins et les attentes différeront.
C’est ainsi que l’on peut analyser le comportement des consommateurs et mieux comprendre leurs besoins. De même que le niveau de satisfaction client qui en résulterait. Plus un consommateur utilisera de touchpoints, plus il sera intéressant d’en déterminer les raisons pour mieux le satisfaire.
Combien de marketplaces avez-vous l’habitude d’utiliser pour rechercher ou acheter des produits ?
Si le click & collect a réellement connu son succès durant la crise, il s’est bien maintenu après et poursuit sur sa lancée. Instauré il y a plus de 12 ans par Darty, le click and collect consiste à commander un produit en ligne et à venir le retirer en point de vente. De multiples avantages se dégagent de ce procédé, comme le gain de temps lors d’un passage en magasin, et indirectement le moyen de le faire connaitre par la même occasion.
De plus on évite généralement les frais de port, quand ils ne sont pas minimisés sur la distance entre un point de vente et sa centrale d’achat. La commande est prête et n’a plus qu’à être retirée comme on pourrait le faire à la poste.
C’est néanmoins la crise sanitaire rencontrée qui a permis à de nombreux commerces de continuer à fidéliser leur clientèle, en offrant cette solution. Faire le lien entre le site e-commerce et le point de vente offrait la possibilité de garder le contact avec ses clients et de ne pas perdre le bénéfice de ses actions de communication entres autres.
Au cours des 12 derniers mois, avez-vous utilisé des options Achat en ligne, récupération en magasin (ou récupération à l’extérieur du magasin) lors d’achats en ligne ?
Les adeptes du click & collect ont clairement été les Etats-Unis et l’Australie, avec respectivement 57% et 54% des consommateurs qui ont eu recours au retrait magasin. La France enregistre un petit 42% avec l’Allemagne qui est nettement en retrait avec seulement 19%
Pourcentage de 26-35 ans qui ont utilisé l’option de retrait en magasin (ou en point relais) au cours des 12 derniers mois :
Focus sur les jeunes de 26 à 35 ans qui ont opté pour le retrait de leurs achats en magasin. On voit clairement ci-dessous qu’ils sont les premiers à faire appel à ce levier. L’Allemagne reflète de nouveau un faible pourcentage sur ce segment de consommateurs, face aux autres qui sont plus à même d’avoir recours au click and collect au travers des autres pays représentés.
Ce sont notamment aux Etats-Unis que les 26-35 ans étaient les plus actifs pour recourir au retrait magasin. La France enregistre un 49%, en deçà face au Royaume-Uni et à l’Australie.
Dernier point abordé, le Retail Media, représentant les actions de communication promotionnelles (publicité) sur les lieux de vente ou en ligne, et plus précisément au travers du parcours client en règle générale. On peut donc évoquer l’influence directe de la publicité sur le consommateur pour encourager l’acte d’achat. Amazon étant un précurseur en matière avec de gros moyens.
Ainsi au sein de la marketplace Amazon on peut découvrir des produits sponsorisés mis en avant, tel que sur un moteur de recherche comme Google avec ses annonces en entête des résultats de recherche. Ici il s’agit de voir que le consommateur use aussi d’une marketplace comme moteur de recherche, et qu’il peut être influencé par des annonces directes sur la plateforme.
Voyons du côté consommateur, si Amazon et ses annonces sponsorisées ont eu un impact avéré.
Avez-vous déjà acheté un article sur Amazon après avoir vu une publicité pour ce produit sur Amazon ?
Au cours des 12 derniers mois, avez-vous cliqué sur un produit sponsorisé sur une marketplace ou un site e-commerce ?
L’impact publicitaire est tout de même avéré et démontre que c’est un puissant levier à actionner pour influencer l’acte d’achat et faire connaitre des produits. Les résultats montrent des taux de 30% à 50% sur l’impact positif de la publicité. Il y a donc un fort potentiel à exploiter et à encore affiner pour améliorer la conversion.
Le rapport ChannelAdvisor 2022 sur le comportement des consommateurs en ligne, soulève ainsi de nombreux aspects pour aider et accompagner les entreprises dans leurs choix et leurs stratégies en e-commerce. N’hésitez pas à le télécharger pour prendre connaissance de toutes les précieuses informations à votre disposition.
30/10/2022
Le « zéro clic » dans une recherche effectuée sur un moteur de recherche désigne le fait que les utilisateurs ne cliquent sur aucun site web proposé dans les résultats de recherche, lors d’une requête. L’étude menée par Semrush s’appuient sur un ensemble de données basées sur le flux de clics reçues par l’outil SEO de la part de fournisseurs tiers et l’observation d’un échantillon anonyme de 20 000 utilisateurs uniques répartis uniformément sur desktop et mobile.
Comme l’explique Semrush : « Pour ces utilisateurs, nous avons extrait les requêtes de recherche effectuées sur Google et les deux prochaines étapes (clics) effectuées après ces recherches. Nous avons supposé que la première action était toujours une recherche générale et non une recherche d’images ou d’actualités, puis nous avons filtré les actions qui avaient plus de deux minutes entre elles. Cela semblait être un lapse de temps réaliste pour permettre aux utilisateurs de terminer leurs recherches ». Au total : 308 978 requêtes de recherche uniques effectuées via un ordinateur ont été analysées, ainsi que 146 390 requêtes réalisées sur mobile.
Selon l’étude, 25,6 % des recherches s’arrêtent à la page de résultats lors d’une requête effectuée sur Google, comportement correspondant au « zéro clic », sur ordinateur (voir image de une). Ce taux est de 17,3 % pour les recherches réalisées sur mobile.
Pour expliquer cette pratique, mais aussi l’écart qui existe entre les deux supports, Semrush souligne : « Les réponses directes sur les SERP s’alignent sur l’évolution des contenus et les attentes des consommateurs. Cela peut expliquer l’écart qui existe entre ordinateur et mobile ici, où le « zéro clic » représente 17,3 % de toutes les recherches. Les utilisateurs ne cherchent pas forcément à éviter un clic, mais ils cherchent plutôt à acquérir des informations plus rapidement. Deux fonctionnalités de la recherche facilitent aujourd’hui cela : les réponses directes et une expérience de défilement optimisée et semi-infinie sur mobile ».
Autres différences notables concernant les requêtes sur ordinateur et mobile :
Pour contrebalancer ce taux de « zéro clic » visible sur ordinateur, l’étude affirme que les utilisateurs ont une tendance à affiner leurs mots-clés sur ce support. Ainsi, Semrush précise que si l’on combine le nombre de clics sur Google avec le nombre de modifications de mots-clés, près de 30 % des personnes affinent ou étendent leurs recherches d’une manière ou d’une autre. De plus, il convient de noter que les clics dits « organiques », soit les clics sur un site web proposé dans les résultats de recherche, dominent toujours les comportements des utilisateurs sur desktop (45,1 %), de même sur mobile (43,1 %).
"Le filtrage des requêtes apparaît comme un aspect fortement sous-évalué du parcours utilisateur. La façon dont les gens effectuent leurs recherches est grandement influencée par leur capacité non seulement à affiner leur requête via la barre de recherche elle-même, mais également à utiliser les diverses fonctionnalités des SERP de Google, souligne Semrush."
L’étude analyse la distribution de la longueur des mots-clés unique utilisée dans les recherches sur mobile et sur ordinateur. Ainsi, Semrush note que les pratiques sont proches et similaires sur ces deux supports. Les utilisateurs effectueraient, en majorité, des recherches de 3 à 4 mots-clés sur ordinateur et mobile.
Cependant, il semble que les utilisateurs aient besoin d’un peu plus de temps pour décider de l’étape suivante lors d’une recherche effectuée sur mobile. La raison pourrait être qu’ils utilisent simplement un écran plus petit et qu’il faut plus de temps pour faire défiler ce que Google suggère. Néanmoins, les utilisateurs sur mobile bénéficient d’une facilité d’accès aux résultats supplémentaires grâce au défilement semi-infini de Google. Ainsi, cela les rendrait plus disposés à consulter plus de résultats sur mobile que sur ordinateur.
Sur ordinateur, la grande majorité des utilisateurs passent de la recherche principale à une recherche d’images. Ce comportement est observé pour 6,1 % des requêtes effectuées sur desktop. Cette pratique est encore plus répandue sur mobile, représentant 7,5 % des requêtes annexes sur ce support. Le recours à la page suivante de résultats, venant en second choix, est très faible atteignant 0,9 % des requêtes secondaires sur ordinateur. Ce taux est encore plus bas sur mobile (0,02 %).
On peut noter que les recherches de vidéos, en seconde requête, sont également assez populaires sur mobile (1,16 %), contre 0,65 % sur ordinateur.
Source : www.blogdumoderateur.com/
Date : 28/10/2022
Auteur :Héloïse Famié-Galtier
18/09/2022
Tout d’abord, il est important de comprendre comment Google fonctionne pour afficher un extrait de page web dans les résultats de recherche.
Google nous explique : « Les extraits sont automatiquement créés à partir du contenu de la page. Ils servent à mettre en valeur le contenu de la page qui correspond le plus à la recherche d’un utilisateur. En d’autres termes, une même page peut afficher différents extraits en fonction de la recherche. »
Cependant, les propriétaires de sites web peuvent suggérer du contenu à Google :
Vous avez donc tout intérêt à suggérer du contenu à Google pour qu’il affiche les informations que vous souhaitez plutôt qu’un extrait de votre page web sélectionné automatiquement.
Voici les bonnes pratiques partagées par Google pour créer des meta descriptions efficaces :
La première action recommandée par Google : s’assurer que les pages web de votre site possèdent bien toutes une balise meta description.
Bon à savoir : il est possible de passer par un outil de crawl tel que Screaming Frog ou Botify pour vérifier vos balises et optimiser votre référencement par la même occasion. Ou vous pouvez vérifier manuellement une balise Meta d’une page web spécifique en inspectant le code : effectuez un clic droit sur la page web en question, et sélectionnez l’option Inspecter. Vous retrouvez la balise <meta name= « description » > dans la section <head>.
Les conseils de Google : utilisez une description générale pour la page d’accueil ou les autres pages importantes de votre site web, et servez-vous de descriptions plus précises pour vos autres pages. Si vous n’avez pas le temps de créer des meta descriptions pour toutes les pages, priorisez vos pages les plus fréquentées.
Bon à savoir : vous n’êtes pas obligé de rédiger une meta description sous forme de phrase. Vous pouvez simplement ajouter une liste d’informations pertinentes sur le contenu de votre page, séparées par des virgules comme le montre le visuel ci-dessous à propos d’une page web sur un livre.
Autre exemple fourni par Google : « sur les pages de présentation de produits, les informations clés sont souvent éparpillées (prix, âge ciblé, fabricant). Il est alors judicieux de regrouper ces données dans la meta description. »
Pour les sites web qui gèrent de grandes bases de données, il est impossible de rédiger des meta descriptions manuellement car il y a trop de pages web. Google préconise alors de les générer automatiquement grâce aux données spécifiques présentes dans les pages. Ces données devront être intelligibles et distinctes pour être affichées dans la description par Google.
Il est recommandé de rédiger un texte réellement descriptif de votre page web dans votre balise dédiée à la meta description si vous souhaitez améliorer considérablement la qualité et le volume du trafic en provenance de Google.
Source : www.blogdumoderateur.com/
Date : 07/09/2022
Auteur : Estelle Raffin