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"Le multimédia à portée de tous"
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27/11/2022
Dans un post, Google annonce la mise à disposition d’un nouveau guide qui vise à permettre aux créateurs de se familiariser avec les systèmes de classement des résultats de recherche. Ce guide répertorie les systèmes actuellement utilisés dans la recherche Google, accompagné d’une brève explication pour chacun d’entre eux. De plus, Google introduit une nouvelle terminologie en distinguant les « systèmes de classement » et les « mises à jour ».
« Dans le passé, le terme « mise à jour » a souvent été utilisé comme nom d’un système de classement particulier, notamment lorsqu’un nouveau système était déployé, explique Google, à l’avenir, nous serons plus précis dans notre formulation pour différencier les « systèmes » des « mises à jour ». Nous aurons toujours des mentions telles que « mise à jour du contenu utile » ou « mise à jour des avis sur les produits », mais lorsque cela sera possible, nous les expliquerons comme des mises à jour des systèmes respectifs, comme le « système de contenu utile » et les « systèmes d’avis sur les produits » . Nous actualiserons également nos pages d’aide pour refléter ce changement de terminologie au fil du temps ».
Ainsi, il convient de noter qu’un « système » fonctionne constamment en arrière-plan, tandis qu’une « mise à jour » désigne une modification ponctuelle des systèmes de classement. Par exemple, le système de contenu utile, Helpful Content Update, fonctionne toujours en arrière-plan lorsque Google fournit des résultats de recherche, bien qu’il puisse recevoir des mises à jour pour améliorer son fonctionnement. Les mises à jour de l’algorithme de base et les mises à jour contre le spam sont d’autres exemples de modifications ponctuelles des systèmes de classement.
Selon le guide, voici les systèmes de classement actuellement utilisés par Google, dont certains sont multiples et d’autres uniques :
Par ailleurs, Google signale que ces systèmes sont aujourd’hui obsolètes :
Source : www.blogdumoderateur.com/
Auteur : Héloïse Famié-Galtier
Date : 22/11/2022
20/11/2022
Créer une stratégie digitale pour son site internet, équivaut à construire un plan d’actions par le biais duquel une société, peut établir efficacement sa présence en ligne.
Il s’agit d’aborder un ensemble de points, de moyens et d’objectifs pour avoir une ligne de conduite à suivre tout en sachant quoi faire et comment le faire. On peut faire appel à une agence digitale ou la créer en interne.
Qu’est-ce qu’une stratégie digitale (globale) ?
La stratégie digitale est généralement liée à l’ensemble des actions ou plans d’actions mis en oeuvre, afin de communiquer via internet et au travers de canaux différents, comme les réseaux sociaux par exemple. Elle a pour but de donner les différentes étapes à suivre, afin d’atteindre des objectifs définis au préalable.
La stratégie digitale intègre de nombreux points à définir qui viennent principalement en réponse à des problématiques. Ces problématiques peuvent avoir un lien avec la visibilité, le trafic, l’image etc… et dans ces cas il est souvent nécessaire de travailler la stratégie digitale conjointement à des sous-stratégies qui s’intégreront à cette dernière.
Le contenu à diffuser et tout ce que cela implique comme le planning éditorial, la stratégie communautaire où il sera question de gestion et d’animation de communautés et des actions à déployer pour engager ses membres. Vous avez également la stratégie de marketing d’influence si elle s’inscrit dans une logique de promotion et de recherche de visibilité et/ou de trafic.
Pour rappel :
Dans la mesure où toute société désireuse de se positionner sur internet cherche à développer ses ventes, on dira que le but sous-entendu ou la finalité de la majorité des stratégies digitales, est d’accroître ses ventes.
On peut également travailler sur la marque, la notoriété, l’image ou encore la relation client dans la mesure où ça reste rattaché aux actions en ligne via internet notamment.
Toute société désireuse de mettre un pied sur internet, doit forcément passer par une stratégie digitale en mettant à plat ses objectifs, et les moyens mis à sa disposition pour les atteindre.
Le net devenant une opportunité nouvelle pour beaucoup de sociétés en même temps qu’un vaste terrain pour y conquérir de nouveaux clients, il ne s’agit pas d’y manquer son entrée. La première étape consistera donc à établir un schéma qui répondra aux questions primaires.
Note : Développer une stratégie digitale demande une bonne connaissance d’internet, des réseaux sociaux, et des outils permettant de parfaire le bon déroulement de son travail. Il est important de comprendre en parallèle, la vision de l’entreprise qui entrera sur le net.
La stratégie digitale pour votre site internet à pour rôle de vous donner une ligne de conduite à suivre, pour entamer ou améliorer votre présence en ligne. Il s’agit d’établir un plan d’actions avec tout ce qui sera nécessaire à la préparation de votre présence sur la toile, dans le but d’atteindre vos objectifs.
Vous souhaitez développer votre présence en ligne via différents leviers comme accroître votre visibilité, votre trafic, travailler votre e-reputation, faire connaitre vos produits, vos services… tout ça au travers d’internet ?
Vous devrez alors passer par la stratégie digitale afin de couvrir l’ensemble de vos besoins et la déployer ensuite en ligne. Pendant et après, vous suivrez vos résultats en fonction d’indicateurs de performance : les KPI et vous pourrez établir ainsi votre R.O.I. (Retour sur Investissement)
Pour amorcer la stratégie digitale de votre site internet, rien de tel qu’une feuille blanche pour y développer le Q.Q.O.Q.C.C.P. qui est un terme familier utilisé en marketing et dans différents domaines nécessitant un plan d’actions.
Comparable au 5W en anglais (Who, What, Where, When, Why) le Q.Q.O.Q.C.C.P. en français permet de dresser une vision globale du pourquoi d’une présence sur internet par exemple.
En répondant à l’ensemble de ces questions, on obtiendra une première trame avant d’aller plus loin en développant chaque point soulevé.
Qui ? – Quoi ? – Où ? – Quand ? – Comment ? – Combien ? – Pourquoi ?
Le Q.Q.O.Q.C.C.P. est la base. Répondre à toutes ces questions est un passage obligatoire pour démarrer.
Pour vous permettre de mesurer l’efficacité de votre stratégie digitale, il serait intéressant de faire un recensement de vos précédentes actions en terme de communication (si elles existaient).
Vous pourrez ainsi comparer vos orientations passées et celles à venir. Voyez ce que vous avez fait par le passé et ce qui a porté ses fruits. Vous pourrez ainsi améliorer certains points ou revoir vos plans d’actions en profondeur.
Si vous avez déjà un site internet, prévoyez un audit pour voir s’il est toujours à jour et s’il répond à vos besoins actuels et futurs, mais également à ceux de vos visiteurs.
Dans la majeure partie des cas, les entreprises recherchent de la visibilité et du trafic sur leur site internet. Si vous développez une stratégie digitale pour votre site internet dans ce sens, il est clair que la finalité sera que les internautes puissent parcourir votre site web pour y trouver des produits, des services et de l’information.
Si votre site n’est plus à jour, si son ergonomie est à revoir ou que de nombreux éléments risquent de faire partir les internautes, ce sera donc le premier point à revoir. Sans cela, votre stratégie digitale n’aurait pas l’impact recherché.
Il est donc préférable de se concentrer sur la base (le socle) de votre stratégie : Là où vous conduirez les internautes. Ainsi le socle de votre stratégie est le premier élément à soigner, que ce soit un réseau social, un site internet ou tout autre canal via lequel vous souhaitez développer une présence, des ventes, de la visibilité etc…
Dans notre cas, nous partirons sur le site internet comme point de départ (socle)
Comme nous venons de le voir précédemment, le site internet auquel on associera le blog ou la section news, sera en règle général le principal socle de votre stratégie.
Votre site web est donc ainsi le support vers lequel vous dirigerez les internautes, car c’est sur celui-ci que se trouve ou se trouvera votre contenu et votre offre. Il sera votre vitrine à partir de laquelle vos services et/ou vos produits seront exposés.
La partie blog (news, informations…) sera quant à elle le reflet de votre expertise au travers des contenus qui y seront rédigés. Si tout démarre bien de votre site, ce sera alors la section à soigner et à ne surtout pas négliger.
Pour un site internet / blog il sera indispensable d’établir un cahier des charges strict, en incluant différents points
Nous ne développerons pas tout ce que doit comporter un site web, mais voici quelques notions à intégrer pour votre cahier des charges :
Tout ce qui devra être intégré sur le site, sera à notifier sur le cahier des charges. Gardez toujours à l’esprit qu’un site doit immédiatement répondre à la question « de quoi traite t’il ? » lors de la première visite sur la page d’accueil.
Intégrez si possible les dernières tendances pour assurer l’ergonomie et la fluidité de chargement de votre site, flat design, Google AMP et responsive design pour répondre à la diversité des résolutions d’écrans. Le mobile étant un facteur à considérer dés aujourd’hui, car il ne faut pas le négliger en matière de navigation.
Remarque : Le site internet / blog peut par ailleurs faire l’objet d’un Q.Q.O.Q.C.C.P. en soit, s’il est pris à part.
Toute personne ou entreprise désireuse de gagner en visibilité et en trafic, se devra de produire du contenu pour répondre aux besoins de ses visiteurs. C’est par le biais de votre contenu que les internautes vous trouveront et vous connaîtront.
2 possibilités pour vous trouver via Google sur internet :
L’internaute connait votre nom et il le pourra ainsi le saisir sur Google ou directement dans la barre d’URL.
L’internaute saisira une requête sur Google, et vous espérez que votre contenu ressortira dans le top 3 des résultats.
C’est aussi simple que cela dans les faits côté internaute !
De votre côté cela signifie que vous devrez travailler vos contenus en vous mettant à la place de vos clients. De quelles informations ont-ils besoin ? Comment vais-je les traiter ? comment les optimiser et les positionner ? etc…
Il y a beaucoup de paramètres à intégrer au niveau du contenu et il est sujet à une stratégie à lui seul; la stratégie de contenu. C’est par le biais du contenu que vous attirerez les internautes à vous selon le principe de l’inbound marketing.
Au sein de la stratégie digitale pour votre site internet, vous définirez les réseaux sociaux sur lesquels il vous faudra être présent. Il ne s’agira pas d’y être pour y être car tous ne vous permettront pas de vous faire connaitre efficacement. Définissez vos objectifs premièrement et apprenez à bien connaitre votre cible pour savoir où elle se trouve et quel est son emploi du temps.
Les réseaux sociaux les plus utilisés restent Facebook, Twitter et Linkedin. Au delà ce sera au cas par cas selon leurs spécificités.
Avec plus de 2 milliards de profils inscrits à travers le monde, Facebook pourra vous demander des investissements au départ, car la visibilité se paie sur le réseau de Mark Zuckerberg. Twitter vous offrira un bon support pour le partage de vos informations, avec de l’interactivité via à vis de vos abonnés, tout en créant de la viralité. Pour se faire il faudra se créer votre communauté au fil du temps et l’engager sur vos actions.
Linkedin quant à lui est un réseau social professionnel principalement utilisé pour le B2B où il est possible d’atteindre plus facilement sa cible par métier et par catégorie socio-professionnelle. Linkedin propose également des groupes de discussions et des pages professionnelles comme Facebook.
Note : Les utilisateurs de Linkedin ne passent en moyenne que 17min/mois sur le réseau… intégrez-le.
Misez sur Linkedin au sein de votre stratégie digitale et atteignez votre cible B2B grâce au réseau social professionnel
Établissez votre charte graphique sur vos différents réseaux sociaux, vous conserverez ainsi une ligne conductrice et une cohérence qui vous identifiera plus rapidement.
Ne cherchez pas à être présent sur tous les réseaux sociaux, soyez juste certain de vos choix selon vos objectifs et optimisez votre présence digitale sur les canaux retenus. Par la suite il est possible d’en introduire un ou plusieurs autres selon d’éventuelles actions à mener ou si cela s’avère nécessaire.
Votre présence sur les réseaux sociaux doit s’inscrire dans votre stratégie digitale et elle devra parfaitement répondre à vos objectifs définis en amont. Les réseaux sociaux étant pour nombre d’entre eux très chronophage, il est préférable d’optimiser sa présence sur 2/3 canaux que de s’aventurer sur plusieurs d’entre-eux.
C’est sur ce point qu’intervient le community manager. Si vous en avez prévu un dans votre phase de développement, il sera convenable de le faire intervenir sur le déploiement de la stratégie digitale de votre site internet. Il pourra également vous donner son avis, avec un regard d’expert sur votre présence au sein des réseaux sociaux.
Il apparaît que le community manager sera vite indispensable pour assurer le déploiement de votre stratégie digitale, mais également pour assurer le suivi de vos indicateurs de performance. C’est la personne qu’il vous faudra pour ne pas perdre la main sur vos actions, et les pérenniser afin d’atteindre vos objectifs.
Quand vous en serez arrivé à ce stade, il vous faudra patienter certainement plusieurs mois pour stabiliser un début de présence digitale et peut-être redéfinir certaines orientations. Il arrive qu’au démarrage on ne pense pas forcément à tout. Pour des questions de temps, de budget, ou toute autre raison il vous faudra y remédier par des points mensuels, afin de voir vos évolutions et l’orientation que prendra votre présence.
Tous les fruits qui découleront de votre stratégie digitale représenteront la phase la plus enrichissante pour votre business. Encore une fois, après les efforts et le budget alloué, il ne s’agira pas de laisser la magie opérer.
Le pilote du projet sera soit un responsable digital, un community manager, soit vous-même si vous avez décidé de vous y consacrer. Cependant attention à la masse de tâches qui gravitera autour. Si vous souhaitez vous engager, il faudra suivre scrupuleusement votre plan et l’affiner au fur-et-à-mesure
Ainsi le community manager doit être vu comme un investissement et non une dépense. Il sera donc important d’aborder le fameux retour sur investissement (ROI) de vos opérations. Mesurer ainsi vos différents objectifs sur des axes différents et en fonction de votre présence digitale.
Ces différents points peuvent être :
Source : www.journalducm.com/
Date : 14/10/2020
Auteur : Laurent Bour
13/11/2022
Le comportement des consommateurs en ligne a radicalement pris un virage avec l’avènement des réseaux sociaux. Pour les marques, il s’agissait pour elles de l’opportunité de se rapprocher du consommateur, en créant des espaces conversationnels pour mieux répondre à leurs besoins et leurs attentes.
Les communautés établies au sein des réseaux sociaux comme les groupes d’échanges, ont ainsi permis de mieux connaitre le consommateur et d’interagir en direct avec lui. De là sont nés de très nombreux métiers visant à améliorer l’expérience client au sens large du terme ; community management, webmarketing, data analyst etc.
Le e-commerce a littéralement explosé durant toutes ces dernières années et il a même vu un pic considérable être atteint lors de la crise du Covid, notamment pour des acteurs phares comme Amazon.
Afin de mieux comprendre le consommateur et d’améliorer sa qualité de service, les marques peuvent se tourner vers des études solides en la matière. On sait que la crise a considérablement impactée les consommateurs dans leurs habitudes d’achats et notamment en ligne.
Ce fut une véritable période pivot pour le e-commerce où il était question de se réinventer pour certains acteurs, d’innover pour d’autres et surtout de suivre un rythme soutenu du fait d’un net replis sur Internet. Il apparaissait donc opportun de suivre ces évolutions et de dresser un portrait du consommateur au fil des années.
C’est alors l’occasion d’introduire le rapport mondial 2022 sur le comportement des consommateurs en ligne. Un rapport initié par ChannelAdvisor* qui traite des principales tendances en matière d’achats en ligne. Il fait suite à un sondage réalisé auprès de plus de 5000 acheteurs en ligne, actifs sur les pays suivant :
* leader en technologie e-commerce depuis 2001
Les consommateurs interrogés couvrent l’ensemble des tranches d’âges de manière assez équilibrée, avec un pic chez les séniors qui représente 933 personnes sur l’échantillon.
Abordons ci-après 5 points que l’on retrouve au sein du rapport, que vous pouvez télécharger via l’encart ci-dessus. Rappelons que le rapport mondial 2022 de ChannelAdvisor propose une étude complète, abordant les nombreux aspects du e-commerce rapportés au consommateur. Le rapport est riche en informations et il est ponctué de nombreuses infographies.
Ce n’est un secret pour personne ! Amazon est incontestablement le pure player qui tire le e-commerce vers le sommet et qui propose l’un des meilleurs services client à ce jour, notamment pours les utilisateurs abonnés à leur service Prime. On peut lui rapprocher son équivalent en Chine, à savoir Alibaba, un autre mastodonte du e-commerce en Asie.
Si Amazon reste la référence du e-commerce, on ne sera pas surpris qu’il est le premier canal d’information sur les produits pour les consommateurs. Ainsi ils vont rechercher les informations, directement sur la marketplace Amazon au dépend d’un moteur de recherche. A ce stade on pourrait presque dire qu’il endosse ce rôle auprès des acheteurs en ligne.
Sur les 6 pays représentés au sein du rapport, tous utilisent majoritairement Amazon à ce titre, sauf l’Australie où le consommateur privilégie encore le moteur de recherche Google.
Nous sommes ici dans le début du parcours d’achat client.
Lorsque vous allez en ligne pour acheter des produits, où commencez-vous votre recherche de produits ?
Si les grosses marketplaces ont les budgets pour communiquer massivement, qu’il s’agisse de display ou d’une stratégie social media solide, ils bénéficient dés lors d’une meilleure popularité. Portées par la visibilité de leur actions en ligne, mais pas que, les marketplaces enregistrent une forte croissance au niveau mondial. Rappelons que les marketplaces majeures proposent toutes une application mobile, passent par du ads et sont très actives sur les réseaux sociaux.
A l’aube du black friday auquel succédera le cyber monday, c’est une course effrénée qui opposera des actions où de forts budgets seront engagés. Ce qui contribue nettement à mettre les marketplaces sur le devant de la scène et à gagner au fil des années cette popularité.
Ainsi les consommateurs ont le choix et à ce titre, ils n’hésitent pas à utiliser plusieurs marketplaces pour faire leurs recherches et acheter leurs produits.
Les touchpoints sont les différents points de contact de nature promotionnelle (commercial, publicité, social) qui permettent de créer le lien entre la marque et les consommateurs. Ils sont utiles à plusieurs niveaux, dans la mesure où les consommateurs peuvent faire face à plusieurs freins et où les besoins et les attentes différeront.
C’est ainsi que l’on peut analyser le comportement des consommateurs et mieux comprendre leurs besoins. De même que le niveau de satisfaction client qui en résulterait. Plus un consommateur utilisera de touchpoints, plus il sera intéressant d’en déterminer les raisons pour mieux le satisfaire.
Combien de marketplaces avez-vous l’habitude d’utiliser pour rechercher ou acheter des produits ?
Si le click & collect a réellement connu son succès durant la crise, il s’est bien maintenu après et poursuit sur sa lancée. Instauré il y a plus de 12 ans par Darty, le click and collect consiste à commander un produit en ligne et à venir le retirer en point de vente. De multiples avantages se dégagent de ce procédé, comme le gain de temps lors d’un passage en magasin, et indirectement le moyen de le faire connaitre par la même occasion.
De plus on évite généralement les frais de port, quand ils ne sont pas minimisés sur la distance entre un point de vente et sa centrale d’achat. La commande est prête et n’a plus qu’à être retirée comme on pourrait le faire à la poste.
C’est néanmoins la crise sanitaire rencontrée qui a permis à de nombreux commerces de continuer à fidéliser leur clientèle, en offrant cette solution. Faire le lien entre le site e-commerce et le point de vente offrait la possibilité de garder le contact avec ses clients et de ne pas perdre le bénéfice de ses actions de communication entres autres.
Au cours des 12 derniers mois, avez-vous utilisé des options Achat en ligne, récupération en magasin (ou récupération à l’extérieur du magasin) lors d’achats en ligne ?
Les adeptes du click & collect ont clairement été les Etats-Unis et l’Australie, avec respectivement 57% et 54% des consommateurs qui ont eu recours au retrait magasin. La France enregistre un petit 42% avec l’Allemagne qui est nettement en retrait avec seulement 19%
Pourcentage de 26-35 ans qui ont utilisé l’option de retrait en magasin (ou en point relais) au cours des 12 derniers mois :
Focus sur les jeunes de 26 à 35 ans qui ont opté pour le retrait de leurs achats en magasin. On voit clairement ci-dessous qu’ils sont les premiers à faire appel à ce levier. L’Allemagne reflète de nouveau un faible pourcentage sur ce segment de consommateurs, face aux autres qui sont plus à même d’avoir recours au click and collect au travers des autres pays représentés.
Ce sont notamment aux Etats-Unis que les 26-35 ans étaient les plus actifs pour recourir au retrait magasin. La France enregistre un 49%, en deçà face au Royaume-Uni et à l’Australie.
Dernier point abordé, le Retail Media, représentant les actions de communication promotionnelles (publicité) sur les lieux de vente ou en ligne, et plus précisément au travers du parcours client en règle générale. On peut donc évoquer l’influence directe de la publicité sur le consommateur pour encourager l’acte d’achat. Amazon étant un précurseur en matière avec de gros moyens.
Ainsi au sein de la marketplace Amazon on peut découvrir des produits sponsorisés mis en avant, tel que sur un moteur de recherche comme Google avec ses annonces en entête des résultats de recherche. Ici il s’agit de voir que le consommateur use aussi d’une marketplace comme moteur de recherche, et qu’il peut être influencé par des annonces directes sur la plateforme.
Voyons du côté consommateur, si Amazon et ses annonces sponsorisées ont eu un impact avéré.
Avez-vous déjà acheté un article sur Amazon après avoir vu une publicité pour ce produit sur Amazon ?
Au cours des 12 derniers mois, avez-vous cliqué sur un produit sponsorisé sur une marketplace ou un site e-commerce ?
L’impact publicitaire est tout de même avéré et démontre que c’est un puissant levier à actionner pour influencer l’acte d’achat et faire connaitre des produits. Les résultats montrent des taux de 30% à 50% sur l’impact positif de la publicité. Il y a donc un fort potentiel à exploiter et à encore affiner pour améliorer la conversion.
Le rapport ChannelAdvisor 2022 sur le comportement des consommateurs en ligne, soulève ainsi de nombreux aspects pour aider et accompagner les entreprises dans leurs choix et leurs stratégies en e-commerce. N’hésitez pas à le télécharger pour prendre connaissance de toutes les précieuses informations à votre disposition.
06/11/2022
Pour chaque canal supplémentaire qu’ils utilisent, ils dépensent davantage.
Aucun doute à avoir sur l’efficacité du marketing omnicanal ! Vous voulez en savoir davantage sur cette stratégie et découvrir comment la mettre en place ? Voici tout ce qu’il faut savoir sur la stratégie de marketing omnical en quelques étapes :
Le consommateur moderne passe d’un canal à l’autre tout au long de sa journée. Il se réveille avec Facebook ou Instagram, puis consulte ses emails. Il se rend au travail en écoutant la radio, et en rentrant le soir, il écoute un podcast ou passe devant plusieurs panneaux d’affichage. Une fois chez lui, il peut allumer la télévision ou surfer sur une application mobile via son téléphone ou sa tablette.
Le marketing omnicanal est omniprésent. Il se concentre sur les besoins du client en lui délivrant un message personnalisé via différents canaux. Chaque plateforme crée une expérience unifiée pour chaque consommateur. Par ailleurs, le marketing omnicanal regroupe aussi bien les médias traditionnels que les nouveaux moyens numériques.
Cette stratégie exige une interaction entre vos efforts de marketing et vos canaux. Ils interagissent de manière à ce que le client bénéficie d’une expérience transparente et unique. L’objectif est donc de toucher le client via différents canaux au fur et à mesure qu’il franchit les étapes de son cycle d’achat.
Le marketing omnicanal devient la norme dans le climat moderne. Selon un rapport de Coresight, 74 % des détaillants ont commencé à élaborer leur stratégie omnicanale ou l’ont déjà mise en œuvre. Examinons de plus près, les 4 principaux avantages du marketing omnicanal !
Avec une stratégie omnicanale, vous pouvez collecter et unifier les données client provenant de canaux et de systèmes disparates : cookies, données e-commerce, réseaux sociaux, listes de diffusion, systèmes de point de vente, programmes fidélité et de recommandation, etc.
Grâce à ces informations, vous obtenez une vue à 360 degrés de chaque consommateur qui s’engage avec votre marque. Vous pouvez mieux analyser le comportement, les intérêts et les intentions de vos clients afin d’améliorer la conception des campagnes. Ce qui se traduit par un taux de conversion plus élevé.
Suite logique du point précédent ! L’analyse plus précise de vos données vous offre des informations précieuses sur vos clients. Vous obtenez de nouveaux critères de ciblage ou précisez ceux que vous avez déjà. Cela vous aide à optimiser vos campagnes en cours ou à en lancer de nouvelles !
Le marketing omnicanal permet de diffuser votre message sur tous les canaux de manière cohérente et opportune. Vous suivez le consommateur dans son quotidien : quand il prend son smartphone au réveil, dans le métro, quand il arrive au travail ou rentre chez lui, lorsqu’il se détend, etc.
Par ailleurs, ce déploiement plus large de votre marque permet de toucher une audience plus grande. Lorsque vous vous contentez d’un ou de deux canaux, vous restreignez votre visibilité. Avec le marketing omnicanal, vous êtes partout où vos prospects et clients se trouvent ! En plus d’accroître votre notoriété, vous améliorez la fidélité client.
Grâce aux informations collectées, vous pilotez plus efficacement vos campagnes marketing. Les retombées sur les différents canaux vous permettent de déployer vos ressources de manière perspicace.
L’analyse des données omnicanales vous indique quels canaux sont performants, quels messages fonctionnent et quelles sont les stratégies à oublier. Au fur et à mesure, vous optimisez vos efforts pour obtenir un meilleur retour sur investissement.
La cartographie du parcours client est une étape primordiale de votre stratégie omnicanale. L’idée est de déterminer les moments et les points de contact avec votre entreprise pour entreprendre des actions efficientes.
L’objectif reste d’amener de nouveaux prospects dans votre entonnoir de conversion, afin de les transformer en clients.
Vous devrez également identifier les lacunes dans le parcours, comme les endroits où les clients ont tendance à s’éloigner, à naviguer hors de votre site ou à abandonner leur panier.
Le marketing omnicanal ne consiste pas seulement à répéter le même message sur plusieurs canaux. Il s’agit de tirer profit des spécificités de chaque canal, afin de guider les clients dans un parcours personnalisé, qui les mènera à la conversion. Néanmoins, chaque contenu, peu importe son format, sera relié aux autres.
Imaginons que vous souhaitez promouvoir un nouveau produit :
Avec une campagne omnicanale, vous saurez quels sont les contenus et canaux qui plaisent à votre cible. Ce qui vous permettra d’adapter vos futurs messages en conséquence et d’améliorer la rentabilité de vos campagnes.
Tous vos points de contact doivent être des lieux de shopping. En plus, d’une boutique physique et/ou en ligne, vous devez utiliser les fonctions shopping des plateformes numériques.
Avec les liens shoppable sur Instagram ou Pinterest, vous pouvez générer des ventes dès le premier contact. Vous pouvez aussi créer des landing pages spécifiques pour vos annonces PPC, sans oublier d’investir dans Google Shopping et dans des comparateurs de prix pour capter les prospects en fin d’entonnoir de vente !
Même s’il y a toujours un objectif d’accompagnement avant la vente, dans le marketing moderne, cela ne doit pas vous empêcher de tout faire pour optimiser les conversions.
Le marketing omnicanal offre de nombreux points de contact et de places de vente. Profitez-en au maximum pour obtenir des données et découvrir les canaux les plus rentables pour votre entreprise.
Atteindre les consommateurs sur plusieurs canaux est plus facile avec une plateforme de marketing intégré. En plus d’aider à la diffusion, elle est capable de collecter et d’analyser les données de chaque canal.
Pour profiter des avantages du marketing omnicanal, veillez à connecter votre CRM, votre e-commerce, vos outils SEO, vos réseaux sociaux, votre blog et tous vos outils marketing !
Comme les clients interagissent avec votre marque sur différents canaux, il est important de proposer un service client omnicanal en parallèle. Les clients doivent pouvoir communiquer directement avec un conseiller sur le canal où ils se trouvent. Pensez aux live chat et chatbots, qui peuvent aisément se synchroniser sur votre site internet, votre boutique en ligne, vos réseaux sociaux, votre application mobile, etc.
Par ailleurs, pensez à bien afficher, sur tous les supports, votre numéro de téléphone, un email ou un identifiant WhatsApp pour que les consommateurs aient le choix. En plus, cela montre que vous êtes disponible, ce qui a le mérite de les rassurer.
Le marketing omnicanal redéfinit le parcours du client pour lui offrir une expérience globale. Avec une stratégie efficiente et soumise à des analyses constantes, vous pouvez augmenter l’exposition de votre entreprise, générer de nouvelles retombées et optimiser votre entonnoir de vente. Mais pour cela, il vous faudra relier vos différents moyens de communication entre eux pour assurer un meilleur parcours client.
30/10/2022
Le « zéro clic » dans une recherche effectuée sur un moteur de recherche désigne le fait que les utilisateurs ne cliquent sur aucun site web proposé dans les résultats de recherche, lors d’une requête. L’étude menée par Semrush s’appuient sur un ensemble de données basées sur le flux de clics reçues par l’outil SEO de la part de fournisseurs tiers et l’observation d’un échantillon anonyme de 20 000 utilisateurs uniques répartis uniformément sur desktop et mobile.
Comme l’explique Semrush : « Pour ces utilisateurs, nous avons extrait les requêtes de recherche effectuées sur Google et les deux prochaines étapes (clics) effectuées après ces recherches. Nous avons supposé que la première action était toujours une recherche générale et non une recherche d’images ou d’actualités, puis nous avons filtré les actions qui avaient plus de deux minutes entre elles. Cela semblait être un lapse de temps réaliste pour permettre aux utilisateurs de terminer leurs recherches ». Au total : 308 978 requêtes de recherche uniques effectuées via un ordinateur ont été analysées, ainsi que 146 390 requêtes réalisées sur mobile.
Selon l’étude, 25,6 % des recherches s’arrêtent à la page de résultats lors d’une requête effectuée sur Google, comportement correspondant au « zéro clic », sur ordinateur (voir image de une). Ce taux est de 17,3 % pour les recherches réalisées sur mobile.
Pour expliquer cette pratique, mais aussi l’écart qui existe entre les deux supports, Semrush souligne : « Les réponses directes sur les SERP s’alignent sur l’évolution des contenus et les attentes des consommateurs. Cela peut expliquer l’écart qui existe entre ordinateur et mobile ici, où le « zéro clic » représente 17,3 % de toutes les recherches. Les utilisateurs ne cherchent pas forcément à éviter un clic, mais ils cherchent plutôt à acquérir des informations plus rapidement. Deux fonctionnalités de la recherche facilitent aujourd’hui cela : les réponses directes et une expérience de défilement optimisée et semi-infinie sur mobile ».
Autres différences notables concernant les requêtes sur ordinateur et mobile :
Pour contrebalancer ce taux de « zéro clic » visible sur ordinateur, l’étude affirme que les utilisateurs ont une tendance à affiner leurs mots-clés sur ce support. Ainsi, Semrush précise que si l’on combine le nombre de clics sur Google avec le nombre de modifications de mots-clés, près de 30 % des personnes affinent ou étendent leurs recherches d’une manière ou d’une autre. De plus, il convient de noter que les clics dits « organiques », soit les clics sur un site web proposé dans les résultats de recherche, dominent toujours les comportements des utilisateurs sur desktop (45,1 %), de même sur mobile (43,1 %).
"Le filtrage des requêtes apparaît comme un aspect fortement sous-évalué du parcours utilisateur. La façon dont les gens effectuent leurs recherches est grandement influencée par leur capacité non seulement à affiner leur requête via la barre de recherche elle-même, mais également à utiliser les diverses fonctionnalités des SERP de Google, souligne Semrush."
L’étude analyse la distribution de la longueur des mots-clés unique utilisée dans les recherches sur mobile et sur ordinateur. Ainsi, Semrush note que les pratiques sont proches et similaires sur ces deux supports. Les utilisateurs effectueraient, en majorité, des recherches de 3 à 4 mots-clés sur ordinateur et mobile.
Cependant, il semble que les utilisateurs aient besoin d’un peu plus de temps pour décider de l’étape suivante lors d’une recherche effectuée sur mobile. La raison pourrait être qu’ils utilisent simplement un écran plus petit et qu’il faut plus de temps pour faire défiler ce que Google suggère. Néanmoins, les utilisateurs sur mobile bénéficient d’une facilité d’accès aux résultats supplémentaires grâce au défilement semi-infini de Google. Ainsi, cela les rendrait plus disposés à consulter plus de résultats sur mobile que sur ordinateur.
Sur ordinateur, la grande majorité des utilisateurs passent de la recherche principale à une recherche d’images. Ce comportement est observé pour 6,1 % des requêtes effectuées sur desktop. Cette pratique est encore plus répandue sur mobile, représentant 7,5 % des requêtes annexes sur ce support. Le recours à la page suivante de résultats, venant en second choix, est très faible atteignant 0,9 % des requêtes secondaires sur ordinateur. Ce taux est encore plus bas sur mobile (0,02 %).
On peut noter que les recherches de vidéos, en seconde requête, sont également assez populaires sur mobile (1,16 %), contre 0,65 % sur ordinateur.
Source : www.blogdumoderateur.com/
Date : 28/10/2022
Auteur :Héloïse Famié-Galtier