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"Le multimédia à portée de tous"
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12/09/2022
Les premiers facteurs d’optimisation auxquels nous pensons, se trouvent autour du texte de notre site web : longueur du contenu, intégration des mots-clés, optimisation du titre et de la méta-description…
Néanmoins, sachez que le référencement d’images est aussi très important pour le SEO. C’est d’ailleurs devenu indispensable pour un bon référencement global. Une bonne optimisation de vos images a un impact très positif.
A travers cet article, nous expliquons pourquoi il faut optimiser vos images. Puis nous vous donnons 8 conseils fondamentaux du référencement d’image, pour booster votre SEO.
Le référencement des images : Qu’est-ce que c’est ?
Le référencement des images de votre site passe par différentes actions. Aujourd’hui, c’est un véritable levier de référencement comme d’acquisition pour les site e-commerce.
En optimisant vos images, vous allez renforcer le pouvoir de votre sémantique. Les mots-clés pertinents glissés sous les images vont être référencés dans Google Images entre autres.
Lorsque les moteurs de recherches vont analyser les mots clés de vos images, ils vont comprendre directement le sujet traité. Ainsi, ils vont positionner votre site internet de façon pertinente pour les internautes.
Pourquoi optimiser le SEO des images est indispensable ?
Il existe tout un tas de raisons pour lesquelles l’optimisation SEO de vos images est devenue indispensable.
En effet, depuis la création de Google Images en 2001, les critères ont beaucoup changé. Surtout, l’accès au site internet d’origine de l’image est devenue très simple.
En optimisant efficacement le référencement de vos images, vous serez visible via Google Images. Ainsi, vous offrez au web, plusieurs portes d’entrée à votre site internet.
En plus, vous avez déjà pu constater que des boutons d’interactions ont été ajoutés sur les images : « afficher l’image », « partager », « Consulter ». Par ces différents biais, votre site web peut être partagé et consulté très rapidement.
En résumé, la bonne optimisation SEO de vos images permettent de :
Le premier point important et classique du référencement d’image est le nom donné à votre image. Il doit être pertinent et contenir des mots-clés correspondant à votre thématique, également.
Votre titre doit :
Permettre de retrouver rapidement et facilement votre image dans les bases de données
Contenir le ou les mots clés de votre requête cible
En effet, une image nommée “xxx325670002.jpg“, ne sera pas référencé, le robot ne détecte pas encore les images comme un être humain. Ainsi, cette suite de lettres et chiffres n’a ni queue ni tête pour les moteurs de recherches. Du coup, rappelez-vous toujours que ce sont les mots clés contenus dans le titre qui vont permettre au robot de retrouver votre image.
Prenons un exemple :
Vous voulez illustrer la recette des crêpes aux fruits rouge.
Vos mots clés sont : recette, crêpes et fruits rouges. Ainsi, vous intitulez votre image : recette crêpes fruits rouges. Avec ce titre, les moteurs de recherches comprennent très rapidement la thématique de votre page.
Le mot-clé que vous visez (“recette de crêpe aux fruits rouges”) apparaît dans le nom du fichier.
La présence de cette expression clé dans le nom de l’illustration aidera Google à savoir de quoi elle parle car, rappelez-vous, le moteur de recherche ne peut pas voir une image comme un être humain (du moins, pas encore). Retenez que si le fichier est intitulé “xxx325670002.jpg“, vous n’aidez pas le robot à déduire la signification de la photo. Par conséquent, ce sera nuisible pour son référencement.
La balise Alt (ou texte alternatif) est, techniquement, un texte qui s’affiche lorsque l’image rencontre un problème d’affichage. Cela peut venir d’une incompatibilité avec le navigateur de l’utilisateur, par exemple.
Au-delà de cette fonction pratique, elle a un véritable intérêt SEO, étant lue par les moteurs de recherche.
Vous devez donc y indiquer vos principaux mots-clés, sans pour autant tomber dans le keyword stuffing. (placer des mots-clés sans cohérence). Décrivez votre image avec une phrase construite correspondant au contenu de la page. En d’autres termes, pensez à ce que la page apporte aux internautes.
Optimiser le texte alternatif d'une imageDans WordPress, le texte alternatif d’une image peut facilement être modifié depuis Médias > Bibliothèque.
Sachez également que la balise Alt est indispensable pour rendre votre contenu lisible par tous, dans un souci d’accessibilité web. En effet, elle est lue par les lecteurs d’écrans utilisés par les personnes malvoyantes ou non voyantes et permet ainsi de leur décrire le contenu de l’image.
De manière générale, il existe 3 formats d’image à privilégier sur le web :
Ce sont les plus répandus, mais ce sont aussi ceux que les moteurs de recherche connaissent par coeur.
Pour être certain que toutes les informations contenues dans votre image soient lues par Google, préférez l’un de ces 3 formats. Ainsi, il est largement conseillé d’oublier les SVG, EPS et autres formats « dépassés » et difficilement lisibles pour les moteurs de recherches.
Le format WEBP est également plébiscité par Google depuis quelques années.
La vitesse et le poids d’un site web ont un impact sur son référencement naturel. C’est un fait, les grandes images alourdissent les pages web. Par conséquent, le traitement des dimensions de vos images est une étape à ne pas négliger.
Les dimensions de vos images
Lorsque vous téléchargez une image (par exemple une photo libre de droit) sur internet, celle-ci est généralement de très grande taille. Cela garantit une qualité maximale en cas d’impression ou d’autres usages. Toutefois, ces dimensions sont souvent inadaptées à un site web.
Donc, afin d’assurer la rapidité de chargement de votre site web, il est indispensable de redimensionner vos images, en amont.
Historiquement, on considère que 600 pixels est la largeur maximale d’une image sur le web. Les résolutions d’écran ayant évolué, ce n’est plus tout à fait vrai, mais cela reste un bon standard pour redimensionner vos photos.
Le poids de votre image
Tout comme les dimensions, le poids de vos images est très important. Des illustrations trop lourdes auront un impact négatif sur la vitesse de chargement de votre site web.
Si vous possédez Photoshop, vous pouvez réduire le poids de vos images par ce logiciel. Sinon, il existe d’autres logiciels d’édition gratuits.
Plusieurs formats existent selon l’utilisation des images :
Vous devez garder en tête que la multiplication des images sur une page web réduit automatiquement la vitesse de chargement.
Pour aller encore plus loin et faire faire un régime express à vos images, vous pouvez également utiliser un outil de compression en ligne.
La légende de l’image est très importante. Elle doit être pertinente, courte et claire. Elle doit aussi contenir vos principaux mots-clés et un champ lexical développant votre thématique.
Ajouter une légende permet, aussi, de contextualiser un peu plus votre image.
Dans WordPress, ces deux éléments peuvent être renseignés facilement depuis Médias > Bibliothèque. Précisons que, par défaut, le titre appliqué correspond au nom du fichier.
Les vignettes sont les images miniatures qui apparaissent sur les pages catégories des sites e-commerces, par exemple. Elles ont pour objectif de présenter rapidement les produits. C’est aussi le cas pour les autres images des sites internet en dehors des boutiques en ligne. Elles représentent le contenu de votre page.
Néanmoins, il ne faut pas qu’elles occasionnent un ralentissement du chargement de votre page.
Voici comment optimiser vos vignettes :
Elles doivent être aussi petites que possible
Le texte de l’attribut alt doit être varié. Ne dupliquez surtout pas des textes déjà utilisés sur d’autres images de votre site web.
Tout comme la légende, la description longue de l’image ne va pas être lue directement par Google. En outre, elle est très utile pour les pages attachment.
Alors, vous devez ajouter une description à votre image avec les mots clés de votre page. Elle devra résumer la thématique de votre page de manière à attirer l’attention de lecteur.
Les sitemaps aident à référencer vos images sur Google. Fréquemment, les sites web contiennent des images pop-up ou des galeries javascript, par exemple. Les crawler web (robots) n’ont pas la capacité d’analyser les images qui ne sont pas nommées dans le code source de la page.
Ainsi, en créant un sitemap XLM, vous pouvez répertorier l’emplacement de vos images. Par conséquent, les robots d’exploration seront informés des images non identifiées.
Deux options s’offrent à vous :
Insertion d’une ligne dans votre fichier robots.txt : vous indiquez le chemin d’accès à votre sitemap image.
Envoi du plan du site à Google à l’aide de search console.
Notre astuce
Vous avez pu constater que l’optimisation de vos photos, images et illustration est un facteur clé de référencement, aujourd’hui. Ainsi, pour assurer à votre site un bon classement dans les moteurs de recherches, cette étape ne doit pas être négligée.
De plus, l’amélioration des images est aussi bénéfique pour la vitesse et la performance de votre site, un facteur SEO important.
05/09/2022
Les minitres du numérique et de la santé s'y sont déplacés conjointement pour annoncer un budget supplémentaire de 20 millions d'euros à l'Anssi afin de renforcer l'accompagnement des établissements de santé.
Le ministre délégué au numérique Jean-Noël Barrot et le ministre de la santé François Braun se sont rendus au Centre hospitalier Sud-Francilien (CHSF) de Corbeil-Essonnes ce 26 août. Leur visite fait suite à la cyberattaque survenue le week-end dernier qui a fortement handicapé l'établissement. Il s'agit d'un (désormais classique) cas de ransomware, les pirates exigeant une rançon de 10 millions d'euros. L'hôpital fonctionne depuis en mode dégradé.
Lors de ce déplacement, les ministres ont annoncé une enveloppe de 20 millions d'euros qui devra permettre à l'Agence nationale pour la sécurité des systèmes d'information (Anssi) de renforcer son accompagnement des établissements de santé sur le territoire. Il faut dire que la liste des victimes commencent à se faire longue, avec notamment les hôpitaux de Dax, Vitry-le-François, Saint-Gaudens, ou encore de l'Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) parmi les victimes recensées.
En attendant, le CHSF a commencé à transférer ses patients à risque, c'est-à-dire ceux se trouvant dans un état instable ou nécessitant des soins importants. Les consultations, les soins programmés en hôpital de jour et les accouchements restent cependant assurés. Les consultations et accouchements restent assurés. On notera que cette vulnérabilité face aux attaques informatiques n'a pas été mitigée par le fait que le Centre hospitalier est relativement récent. Il avait en effet été inauguré le 23 janvier 2012. La sécurité informatique n'avait sans doute, comme souvent, pas été une priorité.
Source : www.usine-digitale.fr/
Date : 26/08/2022
Auteur : JULIEN BERGOUNHOUX
29/08/2022
Parmi les attaques informatiques les plus courantes, il y a les attaques par DDoS ou par déni de service distribué qui consistent à bombarder un service en ligne de requêtes afin de rendre celui-ci hors service. Mais fort heureusement, les protections disponibles pour faire face à ce type d’attaque sont également de plus en plus évoluées.
Par exemple, au mois de juin, Cloudflare a indiqué avoir pu mitiger une attaque de grande ampleur qui ciblait l’un des clients de son offre gratuite. Il s’agissait d’une attaque de DDoS HTTPS (le fait qu’il s’agisse d’une attaque HTTPS nécessite plus de moyens) qui a envoyé 212 millions de requêtes en 30 secondes.
Et récemment, Google a évoqué un nouveau record. Le premier juin, un client de son service Google Cloud a été la cible d’une attaque DDoS HTTPS avec un pic de 46 millions de requêtes par seconde. D’après les explications de la firme de Mountain View, c’est la plus importante attaque de ce type jamais enregistrée et elle était 76 % plus importante que celle qui a été contrée par Cloudflare.
Pour nous donner une idée de l’importance de cette attaque, Google explique que c’est comme recevoir le nombre journalier de requêtes de Wikipédia (l’un des 10 sites les plus visités dans le monde) en seulement 10 secondes.
Mais fort heureusement pour le client ciblé, les systèmes de protection de Google ont été en mesure de contrer cette puissante attaque DDoS. La protection Cloud Armor de Google Cloud a été capable de détecter cette attaque très tôt, ce qui a permis le déclenchement de mécanismes de protection.
« Cloud Armor a alerté le client avec une règle de protection recommandée qui a ensuite été déployée avant que l’attaque ne prenne toute son ampleur. Cloud Armor a bloqué l’attaque en veillant à ce que le service du client reste en ligne et continue à servir ses utilisateurs finaux », assure la firme de Mountain View.
« L’équipe de sécurité réseau de notre client a déployé la règle recommandée par Cloud Armor dans sa politique de sécurité, et elle a immédiatement commencé à bloquer le trafic d’attaque », raconte également Google. « Dans les deux minutes qui ont suivi, l’attaque a commencé à monter en puissance, passant de 100 000 rps à un pic de 46 millions de rps. »
Puis, comme Cloud Armor bloquait déjà le trafic d’attaque, le site du client a continué à fonctionner normalement. L’intensité de l’attaque a ensuite progressivement baissé, se terminant finalement 69 minutes.
« Vraisemblablement, l’attaquant a probablement déterminé qu’il n’avait pas l’impact souhaité tout en engageant des dépenses importantes pour exécuter l’attaque », estime Google.
Et si l’ampleur de cette attaque, dont un client de Google Cloud était la cible, est impressionnante, la firme prédit que la taille des attaques informatiques va continuer à évoluer. Ainsi, celle-ci la firme met en lumière la mise en place de protections adéquates, comme celles proposées par son offre cloud.
08/08/2022
Malgré l’incertitude économique mondiale, le commerce en ligne poursuit sa croissance et se développe à un rythme constant. Le nombre de personnes faisant des achats en ligne n’a jamais été aussi élevé.
Vous voulez prendre le train en marche ?
Créer un site e-commerce n’est pas si difficile en soi : vous n’avez pas besoin de connaissances techniques ou de programmation pour vous lancer. En poursuivant la lecture de cet article vous allez voir comment mettre en place (et faire fonctionner) votre site de e-commerce.
Vous avez bien sûr déjà défini votre secteur d’activité, il vous faut maintenant réaliser une étude de marché de celui-ci.
À partir de là, vous pourrez choisir votre axe de communication, dans le but de vous démarquer d’eux : avez-vous des avantages concurrentiels ? Y-a-t-il des produits que vous vendez et eux non ?
Si non, imaginez une communication marquante, différente, qui vous apportera l’originalité dont vous avez besoin pour vous lancer. Définissez également votre cible de clients : sexe, tranche d’âge, habitudes de consommation…
Une fois que vous savez où vous vous dirigez, vous allez devoir concrétiser le projet de création de votre site marchand.
Dans ce cahier des charges, vous pouvez également faire une synthèse de votre étude de marché, pour donner une idée au prestataire de l’environnement concurrentiel dans lequel se situe votre projet et qu’il puisse vous conseiller.
En fonction des critères établis dans le cahier des charges, comme la clientèle visée (vente entre professionnels ou vente aux particuliers), mais aussi de votre budget ou encore le temps disponible, plusieurs solutions s’offrent à vous pour la création de votre site internet. Vous pouvez opter par exemple pour :
Sans doute le plus important lorsqu’on créé son site de e-commerce : les produits ! Contactez vos fournisseurs et demandez-leur les données des produits que vous vendrez : par exemple, le poids et les dimensions peuvent servir à calculer les frais de port que vous devrez facturer sur votre site e-commerce. Le code barre (ou une référence unique par produit) est aussi nécessaire.
Vous devrez également avoir des photos produits dignes de ce nom, par exemple en contextualisant vos produits.
Si vous être le fabricant de vos propres produits, c’est à vous qu’il revient de collecter ces données, qui serviront à créer les fiches produits de votre boutique en ligne.
Le contenu de ces fiches produits a un double emploi : c’est à la fois ce qui provoque une vente mais également ce qui référence votre boutique en ligne sur les moteurs de recherche. Des fiches produits vides de contenu ne convertiront pas et ne se référenceront pas non plus.
En ayant un fichier parfaitement renseigné, le travail d’importation dans votre solution e-commerce deviendra un vrai jeu d’enfant.
Des fiches produits bien rédigées peuvent vous permettre de mieux référencer vos produits sur le web.
Les moyens de paiement doivent être définis en amont afin de les configurer sur le site et les paramétrer. La mise en place d’un mode de paiement peut prendre du temps, pensez à prendre un compte ce délai dans votre planning.
Selon le type de clientèle visée, un mode de paiement sera plus judicieux qu’un autre. Ne vous arrêtez pas à un seul d’entre eux : les internautes aiment avoir le choix. Vous pouvez choisir au moins 3 modes de paiement dans la liste suivante :
Important : Veillez à bien intégrer et configurer votre solution de paiement pour éviter toute faille de sécurité. Pour vous assurer du bon fonctionnement de votre système de paiement, confiez son intégration à un développeur professionnel.
Le mode de livraison est crucial, comme les tarifs de celui-ci. Nombre d’abandons de paniers sont dus à un mode de livraison (ou un coût) inadapté. Des frais de ports trop élevés font fuir les clients ! En effet dans le monde du e-commerce, les clients ont l’habitude de comparer les offres, et le tarif de livraison est le premier critère de choix des internautes : même en proposant des produits moins chers que vos concurrents, si votre tarif de livraison est trop élevé, les internautes risquent d’aller voir ailleurs.
Quels modes de livraison de vos articles allez-vous proposer ?
Vous devez faire votre choix en prenant en compte le type de produit vendu, le mode et le tarif de livraison de vos concurrents.
Comme pour les fiches produit, le contenu des pages de votre site e-commerce est un élément primordial : il informe et met en confiance les internautes et améliore le référencement naturel. Par exemple la page « Qui sommes-nous » rassurera le client sur l’entreprise, son éthique, ses pratiques et son expérience.
La page contenant les modes de livraison permettra d’informer le client sur les délais et tarifs.
Si d’autres pages de contenu sont nécessaires, ou que vous souhaitez adosser un blog à votre boutique en ligne, préparez ce contenu à l’avance : vos pages « fixes » doivent être en ligne dès le jour J ! Quant au blog, il est bon de proposer quelques articles également, afin de permettre aux internautes découvrant votre site de comprendre à quoi s’attendre comme contenu futur. Une fois la boutique lancée vous n’aurez pas forcément le temps nécessaire pour y ajouter du contenu régulièrement, donc préparez autant d’articles que possible !
Là encore, vous pouvez déléguer la création de vos contenus à des rédacteurs freelances. Formés pour créer un contenu optimisé pour le référencement, ces professionnels de la rédaction sauront vous rédiger des textes de qualité dans des délais courts.
Il existe 3 grands types de solutions de sites marchands :
Terminons par les éléments devant apparaître obligatoirement sur votre site internet :
Vous vous posez des questions sur la création d’un site d’e-commerce, voici quelques réponses pour vous aider à y voir plus clair.
Oui, c’est une très bonne idée, et cela, pour plusieurs raisons.
Avant tout, cela vous donne la possibilité de positionner votre business sur la SERP. En choisissant les bons mots clés, vous allez activer votre SEO. Si vous devez faire des changements par la suite, vous aurez quand même avancé quelques pions. Sur la toile, le temps a du sens, car la concurrence s’organise et avance vite !
La deuxième raison est le fait que votre site fonctionne sans arrêt. Quelle que soit l’heure ou le jour, vous pouvez réaliser des ventes. Moins facile avec votre boutique physique.
Autre élément important, aujourd’hui, si vous n’existez pas sur Internet, et sauf dans quelques cas ou l’effet de niche peut jouer un rôle important, vous risquez de manquer de visibilité et de ne pas vous en sortir.
En optant pour une plateforme gratuite, vous restez propriétaire de vos données, du design que vous avez choisi, du nom de votre boutique et si vous le souhaitez, vous changez d’hébergeur.
Un Content Management System ou Système de Gestion de Contenu est un outil qui permet la création de site Internet en donnant des modèles tout prêts à adapter. En fait, il donne la possibilité de créer son site sans connaissances particulières.
Les avantages de ce type d’outils sont :
Les inconvénients du CMS :
Pour vous aider à faire votre choix, voici quelques informations sur les 3 CMS les plus connus :
Woocommerce s’utilise sur WordPress. Solution efficace que ce soit pour les petits ou grands e-commerces.
L’avantage de WooCommerce est sa facilité de mise en place. Rapide et efficace, vous choisissez un thème en lien avec votre business et vous le téléchargez à partir de WordPress.
Après quelques réglages, votre boutique sera prête à être publiée.
L’utilisation de WordPress, vous donne la possibilité d’avoir accès à d’autres fonctionnalités souvent gratuits et qui vous permettront d’augmenter votre chiffre d’affaires.
ATTENTION, certains thèmes de WordPress sont incompatibles avec WooCommerce. Cela vous oblige à acheter des modules qui s’avèrent assez chers. D’autre part, si vous avez un gros site de vente, vous aurez du mal à utiliser WooCommerce en version gratuite.
Cette solution date de 2005. C’est une application gratuite qui se révèle assez simple d’utilisation.
Les avantages
:
Les inconvénients :
C’est le CMS le plus puissant qui existe. C’est une solution plus professionnelle et personnalisable. Elle s’adapte très bien aux grands projets.
Avantages :
Inconvénients :
Créer un site de e-commerce n’est pas si difficile, mais peut se révéler chronophage, lors notamment de la création du contenu, ou des démarches administratives de création d’entreprise (si c’est votre cas) Pour avoir du succès dans le monde du e-commerce, il faut donc du temps et un peu de travail.
Gardez à l’esprit que la majeure partie du travail viendra après le lancement de votre boutique en ligne, et que la gestion d’un site de e-commerce demande également des connaissances, que vous acquerrez par l’expérience !
En fonction de vos ressources, de vos besoins et de vos connaissances techniques, à vous de choisir la solution la mieux adaptée à vos besoins pour créer votre site e-commerce et booster vos ventes.
Source : www.codeur.com/
Date : 04/08/2022
Auteur : Florian
01/08/2022
Initialement, Google avait prévu de mettre fin aux cookies tiers en 2022, puis avait pris la décision de repousser l’échéance à fin 2023. Le géant américain prévoit désormais une suppression des cookies tiers pour mi-2024. Google peine à faire avancer son projet Privacy Sandbox. Pour rappel, l’objectif final est d’éliminer les cookies tiers en les remplaçant par de nouvelles méthodes de ciblage garantissant la confidentialité des utilisateurs.
Pourquoi Google repousse encore la fin des cookies tiers
Depuis plusieurs mois, Google déploie des APIs de Privacy Sandbox sur Chrome en version d’essai pour que les développeurs puissent les tester. Parmi ces APIs, on retrouve notamment : Google Topics, sa dernière méthode de ciblage publicitaire visant à remplacer FLoC. Pour rappel, la méthode FLoC fût la première proposition de Google pour remplacer les cookies tiers, elle fût très controversée et suscita de vives réactions de la part des acteurs de la tech, ce qui freina inévitablement l’avancée du projet Privacy Sandbox. Au final, la firme décida d’abandonner FLoC en janvier 2022.
Dans son blog post publié hier, Google indique travailler avec de nombreuses parties prenantes : développeurs, éditeurs, spécialistes du marketing, autorités de régulation via des forums comme la W3C… Un accord a même été conclu avec l’Autorité des marchés de la concurrence du Royaume-Uni (CMA) concernant le développement et le lancement de la Privacy Sandbox dans le monde entier. Mais tous ces acteurs de la tech ont besoin de plus de temps pour tester les nouveaux dispositifs (et s’assurer que la vie privée des utilisateurs est bien respectée…) : « Nombre de ces parties prenantes ont indiqué avoir besoin de plus de temps pour évaluer et tester les nouvelles APIs de la Privacy Sandbox avant la suppression des cookies tiers dans Chrome, ce qui est cohérent avec nos engagements vis-à-vis de la CMA. »
Ainsi, Google prolonge ses phases de tests des APIs de la Privacy Sandbox, ce qui repousse par conséquent la désactivation des cookies tiers sur Chrome.
Le nouveau calendrier de déploiement de Google
Google annonce de nouvelles échéances :
Source : www.blogdumoderateur.com/
Date : 28/07/2022
Auteur : Estelle Raffin