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Les objectifs de contenu en community management

23/10/2022

Les objectifs de contenu en community management

Au sein d’une stratégie de contenu, il sera nécessaire de soulever ces objectifs, mais également les types et les formes de contenu que nous avons vu en première partie (voir article précédent). Il est ainsi possible de faire de multiples croisements en matière de contenu, en mixant les types et les formes, ainsi que les orientations.

 

Les objectifs majeurs et secondaires en community management


Les objectifs majeurs en community management que l’on rapprochera du contenu, fonctionnent par paire et sont au nombre de 4.

 

Ces objectifs sont sensiblement les mêmes qu’au travers du marketing digital notamment et des campagnes de marketing d’influence. Les objectifs secondaires sont multiples et à définir au cas par cas.

 

La vente étant occultée car c’est à mon sens une finalité et la conclusion d’un travail bien fait. De plus on évoque ici le community management et le contenu, dons aucun lien direct avec la vente de par le rôle du CM.

 

Les objectifs majeurs


A savoir que les objectifs majeurs suivent une logique selon la notoriété de l’entreprise et sa présence au travers des réseaux sociaux et autres canaux online et offline. Plus une marque ou une entreprise sera connue, plus elle devra travailler à l’entretien de sa notoriété et/ou de son image.

  • Trafic et visibilité
  • Image et notoriété


La vente est ici écartée, car j’estime qu’elle n’est pas liée au travail d’un community manager, et qu’un travail bien fait en globalité, devrait générer des ventes. Ceci est fonction des nombreux facteurs qui ne sont pas maitrisés par le CM ; Le site web en globalité, les actions marketing, l’offre produits/services, la politique tarifaire etc.

 

Bien souvent le contenu lui-même est déjà préparé en amont, mais est-il pertinent et est-ce qu’il répond aux attentes et besoin de la communauté ? Le CM sera capable de répondre à cela à terme, mais en aucun il ne doit être à la performance. Il peut y avoir cependant des exceptions dans les sphères du B2B, mais à voir au cas par cas car le community management en B2B diffère sensiblement.

 

Les objectifs secondaires 


Les objectifs secondaires sont quant à eux très nombreux et se définiront selon les actions. Il y a par exemple la viralité, l’engagement, la recherche de commentaires, un volume de vente sur code promo etc. Ces objectifs qui sont secondaires lorsqu’ils suivent un objectif global, peuvent devenir également majeurs s’ils sont isolés, ou être des KPI selon les actions menées.

 

Une entreprise et son community manager, peuvent définir un objectif précis pour un contenu, ce qui sera alors spécifique.

 

Exemple : Recherche de viralité sur une infographie, qui est d’ailleurs une bonne forme de contenu à choisir dans ce cas.

 

Un objectif vous conduira à adopter le type et la forme du contenu, s’il prime pour vous. Si c’est le contenu qui prévaut, il sera question de considérer l’objectif en lien avec celui-ci, ce qui n’est pas très courant. D’où l’intérêt de définir une stratégie de contenu en amont, ou de la considérer au sein d’une stratégie digitale globale.

 
Pour poursuivre sur des objectifs secondaires, il faudrait des exemples spécifiques pour créer un plan d’actions. Certains sujets seront ainsi traités prochainement comme la viralité, la recherche de backlinks, la recherche de commentaires etc.

 

Objectifs secondaires et réseaux sociaux


Tout ce qui sera lié aux réseaux sociaux pourra devenir un ou des objectifs majeurs, mais on peut les associer à des objectifs secondaires quand on recherche des interactions spécifiques et/ou de l’engagement si un objectif majeur est placé en amont, comme la visibilité par exemple.

 

A l’inverse si on considère le community manager comme un maillon dans un grand groupe, il sera plus lié à des objectifs d’engagement, d’acquisition de fans, de rétention etc. La finalité peut néanmoins demeurée dans la recherche de visibilité, d’image etc.

 

De plus on peut associer une interaction à un objectif majeur, on évoque alors le ROA et le ROE, comme le clic lorsqu’il s’agit d’une recherche de visibilité et trafic vers le site web de l’entreprise.

 

Les objectifs de trafic et de visibilité


C’est le point de départ, surtout pour une structure qui part de rien et qui amorce sa présence sur Internet. Pour le community manager, il s’agit de générer du trafic en développant sa communauté sur les réseaux sociaux. Si on parle d’engagement comme point central en community management, on doit le rapprocher de deux points

  • Maintenir un bon de taux de rétention,
  • Permettre que sa communauté prenne connaissance régulièrement du contenu partagé, en vue d’interagir dessus bien évidemment. C’est à l’issue que l’on établira un taux d’engagement.


Cependant ce n’est pas la finalité, car toute entreprise héberge son offre produits / services sur son site web en général. De ce fait, l’appel au clic sur les contenus est primordial pour que les internautes se rendent sur le site.

 

Le like est une interaction sans valeur à ce stade, vu que l’on vise du trafic, entrainant de la visibilité. On peut ainsi dire que la recherche du clic, sera donc liée à un contenu hébergé sur le site, qu’il s’agisse d’un article, d’une infographie, une vidéo etc.

 

Attention néanmoins, car en matière de stratégie de contenu on n’évoque pas que les réseaux sociaux, vu que le contenu rédactionnel notamment, nécessite un travail en SEO. Le référencement implique 5 sources de trafic web qui sont l’organique, le référent, le social, le direct et autres.

 
Le community manager travaillera sur le trafic social, bien qu’il n’améliore pas directement le positionnement du contenu sur les moteurs de recherche. Cependant il peut générer du trafic sur le site web, et c’est ce qui est recherché au travers de notre objectif.

 

Community manager à la performance ?


Notez ainsi que le community manager ne peut être lié à la performance ou pour de la vente directe. L’une de ses missions est d’amener des visiteurs sur un site, et le marketing travaillera sur un tunnel de conversion et sur les éléments du site en vue de convertir.

 

Un CM n’est pas à la base de la création du site, de son ergonomie et son design, de la politique tarifaire et des produits / services. Il en est tributaire mais doit répondre à ce qui l’implique : le trafic. En remplissant son objectif de trafic, le community manager peut ainsi faire le lien avec les ventes réalisées. Il peut demander quel volume de vente a été réalisé et/ou combien de visiteurs ont été convertis sur 2000 internautes (exemple fictif) qu’il a attiré vers le site web.

 

Il peut y avoir des exceptions, comme lors du partage de codes promotionnels notamment.

 

C’est un discours qui change radicalement en comparaison d’un community qui serait embauché pour faire du chiffre, ce qui n’a aucun sens car il n’est pas maitre de tous les éléments précités, concernant le site et l’offre. Il perdrait qui plus est toute notion de créativité, étant sous la pression du chiffre ! En somme il deviendrait une sorte de commercial 3.0 ni plus ni moins, donc à ce stade appelons un chat un chat !

 

Les objectifs d’image et de notoriété


Voyons à présent la seconde paire qui a trait à l’image et la notoriété. On peut les distinguer par la force de l’ancrage dans l’esprit des consommateurs mais aussi par la capacité à devenir référent ou positionné sur un territoire de marque pour la notoriété.

 

L’image est plus fragile et elle peut être positive comme négative, alors que la notoriété est plutôt positive et forte. Une marque de forte notoriété qui traverse un badbuzz, ne perdra pas sa notoriété. Une marque plus fragile qui n’a pas atteint la notoriété mais une certaine image, peut la perdre en quelques minutes.

 

On commence donc par le travail sur l’image et à terme la notoriété, et ce sont des objectifs qui nécessitent d’être déjà très visible et/ou médiatisé de préférence.

 

L’image


Un objectif d’image est un objectif de perception renvoyé par vos clients, les consommateurs, et les internautes au sens large. En marketing on parle d’image voulue et d’image perçue ! D’un côte ce que vous voudriez que les gens pensent de vous, et de l’autre ce qu’ils pensent vraiment de vous. Les 2 doivent donc être raccord, et si ce n’est pas le cas, s’ensuit un travail pour parvenir à cet équilibre.

 

L’image c’est tout ce que vous faites pour le bien ; des autres, de l’environnement etc. Chaque action doit alors démontrer votre capacité à vous soucier du client et de ses attentes. A l’issue, vos clients et d’autres, parleront alors de vous, qu’il s’agisse de partage d’opinion, des commentaires, des avis laissés, des contenus médiatiques, de vos participations à des évènements, de votre position pour la défense de causes etc.

 

Votre image doit être vraie et emprunte de sincérité pour gagner la confiance de vos communautés. Elle doit donc se traduire par des actes et des interactions qui vous renvoient cette image positive voulue (on l’espère).

 

Prenons un simple exemple, car là aussi il y en a de très nombreux : Si une marque produit du contenu en vue de travailler son image, elle devra dans certains cas accompagner ses clients, les aider, leur délivrer des conseils et  des tutos, des ressources pour les engager davantage. Dans ce cas précis on travaille sur la perception, mais aussi sur l’inconscient. Si on prend le cas d’une compagnie d’assurance qui aide et accompagne ses clients, il sera plus facile de se souvenir d’elle quand vous aurez besoin d’un contrat !

 

Vous pourriez ainsi ancrer votre image dans l’esprit des consommateurs et amoindrir l’effet d’un comparateur d’assurances au moment de trancher. C’est pourquoi vendre en frontal ne fonctionne pas systématiquement sur certains domaines. Les consommateurs consultent les comparateurs et font ensuite leur choix, mais si dans leur esprit ils pensent à vous, ça peut les orienter à votre avantage.

 

"Le travail sur l’image peut permettre de contourner le rapport de force qui émane de la vente."

 

La notoriété


La notoriété s’acquiert avec le temps (parfois ça peut être très rapide avec la bonne idée au bon moment) et ce sont principalement les entreprises et les marques novatrices qui gagnent cette autorité, tout comme celles qui sont référentes sur leur marché. Certaines sont aussi installées depuis des décennies et sont implantées sur des territoires de marque comme Coca-Cola, Disney, Red Bull etc.

 

La notoriété est par ailleurs internationale dans bien des cas, quand une image peut être nationale voir locale.

 

A la différence de l’image la notoriété fait aussi signe d’un ancrage plus profond et solide en traversant les années. Si l’image peut rapidement s’effriter, voir être perdue, la notoriété quant à elle subsiste dans la majeure partie des cas. Lorsqu’on constate qu’une grande marque traverse un badbuzz, elle se relève plutôt rapidement.

 

Les consommateurs passent à autre chose et la marque semble ne pas être ébranlable. Ne pensez pas cependant, que des marques comme Apple, Coca-Cola, Microsoft, Amazon et bien d’autres, n’ont pas eu à vivre les foudres des consommateurs et trainer des casseroles, et même encore au tems présent. Pourtant la notoriété est là et la force de la marque reste un modèle pour de très nombreux concurrents et leurs clients.

 

La notoriété est un objectif à travailler dans la durée jusqu’à être référent dans son domaine et au-delà des frontières. Une notoriété est rarement négative, ce qui ne signifie pas qu’une marque ou une entreprise n’ait rien à se reprocher. Ce sont les consommateurs qui portent une marque ou une entreprise de forte notoriété, et leur fidélité ne fait pas cas de ce qui pourrait l’entacher d’une manière ou d’une autre.

 

Pour travailler sa notoriété, il faut être dans le service, la relation client, être novateur, s’affirmer sur un territoire, répondre à des problématiques diverses et aux attentes et besoins des clients, etc.

 

_________________

 

Remarque :

 

Ces objectifs peuvent encore être largement creusés en les illustrant par des cas concrets, mais ils seraient trop nombreux à ce stade. Il serait néanmoins intéressant de prendre certains axes majeurs, et les illustrer avec une stratégie et des objectifs à atteindre. A voir pour de prochains articles car on pourrait partir d’un objectif sur un type de contenu et créer un cheminement stratégique !

 

L’infographie pourrait être un bon point de départ en lui rattachant plusieurs objectifs. Vous pourrez ainsi voir comment un contenu en particulier peut répondre à de multiples besoins, attentes et objectifs.

Décryptage du Mois Européen de la Cybersécurité

09/10/2022

Décryptage du Mois Européen de la Cybersécurité

Depuis 2012, le mois d’octobre est synonyme du Mois Européen de la Cybersécurité (ECSM). Pour rappel, la cybersécurité englobe tout ce qui permet d’assurer l’intégrité et la protection des données au sein d’une infrastructure numérique.
Cette démarche européenne de sensibilisation est à l’initiative de l’ENISA (agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l’information) et est coordonnée en France par l’ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information). Chaque année, une campagne est menée par les grands acteurs de la cybersécurité, dans le but de proposer des actions de sensibilisation, des conférences sur le sujet ainsi que de nombreuses communications. Le cyber mois est un bon moyen de nous remettre en tête que nous sommes tous impliqués et tous responsables dans la lutte contre la cybercriminalité et qu’il est important de démystifier ce sujet, pour étendre sa compréhension au plus grand nombre et éviter certains incidents numériques.


Bilan des cyberattaques en 2022

 

Depuis 20 ans, Mailinblack a pour ambition de proposer les meilleures solutions de cybersécurité sur le marché. En 2022, elle est forte de 14.000 organisations qui lui font confiance et sa solution Protect, analyse pas moins de 5 milliards d’emails par an.

Dans un objectif de sensibilisation, Mailinblack a décidé de partager son bilan cyber. Cette infographie sera publiée tous les ans au mois d’octobre et sera accessible gratuitement. Cette année, avec notre solution Protect, l’analyse des emails qui convergent vers nos serveurs nous permettent de poser un constat clair : 33% des emails reçus sont malveillants et/ou indésirables !

 

Ce qui représente :

 

462 000 000 attaques déjouées. C’est-à-dire des emails malveillants contenant des formes de :

  • Phishing (usurpation d’identité pour inciter à divulguer des informations personnelles, professionnelles ou sensibles) ;
  • Ransomware (logiciel malveillant qui infiltre le système informatique, retient es données en otage et demande une « rançon » afin de débloquer les accès) ;
  • Spear-phishing (usurpation de l’identité de l’expéditeur pour pousser le destinataire à ouvrir une pièce jointe, inciter à effectuer un virement bancaire, etc.) ;
  • Malware (logiciel malveillant qui vise à infiltrer le système informatique à des fins néfastes : virus, cheval de Troie, etc.).

 

142 000 000 spams bloqués. C’est à dire des emails indésirables plus connus sous le nom de spam. Il s’agit d’un email envoyé massivement, souvent publicitaire, qui vient polluer votre boîte mail personnelle et/ou professionnelle. En en existe deux catégories :

 

  • Spams nocifs : dangereux et non sollicités, ils représentent un risque pour les organisations (malware, tentative d’usurpation…) ;
  • Spams nuisibles : non productifs et non sollicités, ils viennent polluer la boîte mail mais ne comportent pas de risque (publicités commerciales, emails automatiques).

 

Ces chiffres significatifs prouvent, une année de plus, l’efficacité de la solution Protect. Notre solution a parfaitement sécurisé et dépollué les messageries de nos 14 000 clients.

 

Vous souhaitez bénéficier d'une protection optimale pour vos boites mails professionnelles, n'hésitez pas à contacter l'agence.

 

En savoir plus

 

Source : www.mailinblack.com/

Date : 04/10/2022

Auteur : Juliette

Comment Google fonctionne avec les meta descriptions ?

18/09/2022

Comment Google fonctionne avec les meta descriptions ?

Tout d’abord, il est important de comprendre comment Google fonctionne pour afficher un extrait de page web dans les résultats de recherche.

 

Google nous explique : « Les extraits sont automatiquement créés à partir du contenu de la page. Ils servent à mettre en valeur le contenu de la page qui correspond le plus à la recherche d’un utilisateur. En d’autres termes, une même page peut afficher différents extraits en fonction de la recherche. »

 

Cependant, les propriétaires de sites web peuvent suggérer du contenu à Google :

  • Dans les balises meta description : Google peut prendre le contenu de la balise <meta name= « description » > de votre page web s’il estime que la description est assez précise pour informer efficacement l’internaute.
  • Dans les résultats enrichis : Google peut afficher des rich snippets si vous ajoutez des données structurées à votre site web en amont (exemple : l’affichage d’étoiles représentant vos avis clients sur un produit).

 

Vous avez donc tout intérêt à suggérer du contenu à Google pour qu’il affiche les informations que vous souhaitez plutôt qu’un extrait de votre page web sélectionné automatiquement.

 

5 bonnes pratiques pour que Google affiche vos meta descriptions


Voici les bonnes pratiques partagées par Google pour créer des meta descriptions efficaces :

 

1. S’assurer que chaque page web comporte une meta description


La première action recommandée par Google : s’assurer que les pages web de votre site possèdent bien toutes une balise meta description.

Bon à savoir : il est possible de passer par un outil de crawl tel que Screaming Frog ou Botify pour vérifier vos balises et optimiser votre référencement par la même occasion. Ou vous pouvez vérifier manuellement une balise Meta d’une page web spécifique en inspectant le code : effectuez un clic droit sur la page web en question, et sélectionnez l’option Inspecter. Vous retrouvez la balise <meta name= « description » > dans la section <head>.

 

2. Créer des descriptions uniques pour chaque page web de votre site


Les conseils de Google : utilisez une description générale pour la page d’accueil ou les autres pages importantes de votre site web, et servez-vous de descriptions plus précises pour vos autres pages. Si vous n’avez pas le temps de créer des meta descriptions pour toutes les pages, priorisez vos pages les plus fréquentées.

 

3. Ajouter des informations pertinentes sur le contenu dans la description


Bon à savoir : vous n’êtes pas obligé de rédiger une meta description sous forme de phrase. Vous pouvez simplement ajouter une liste d’informations pertinentes sur le contenu de votre page, séparées par des virgules comme le montre le visuel ci-dessous à propos d’une page web sur un livre.

Autre exemple fourni par Google : « sur les pages de présentation de produits, les informations clés sont souvent éparpillées (prix, âge ciblé, fabricant). Il est alors judicieux de regrouper ces données dans la meta description. »

 

4. Générer des descriptions à l’aide d’un programme


Pour les sites web qui gèrent de grandes bases de données, il est impossible de rédiger des meta descriptions manuellement car il y a trop de pages web. Google préconise alors de les générer automatiquement grâce aux données spécifiques présentes dans les pages. Ces données devront être intelligibles et distinctes pour être affichées dans la description par Google.

 

5. Rédiger des descriptions de qualité


Il est recommandé de rédiger un texte réellement descriptif de votre page web dans votre balise dédiée à la meta description si vous souhaitez améliorer considérablement la qualité et le volume du trafic en provenance de Google.

 

Source : www.blogdumoderateur.com/

Date : 07/09/2022

Auteur : Estelle Raffin

Le gouvernement injecte 20 millions d'euros dans l'Anssi pour renforcer L'AIDE des hôpitaux

04/09/2022

Le gouvernement injecte 20 millions d'euros dans l'Anssi pour renforcer L'AIDE des hôpitaux

Les minitres du numérique et de la santé s'y sont déplacés conjointement pour annoncer un budget supplémentaire de 20 millions d'euros à l'Anssi afin de renforcer l'accompagnement des établissements de santé.

 

Le ministre délégué au numérique Jean-Noël Barrot et le ministre de la santé François Braun se sont rendus au Centre hospitalier Sud-Francilien (CHSF) de Corbeil-Essonnes ce 26 août. Leur visite fait suite à la cyberattaque survenue le week-end dernier qui a fortement handicapé l'établissement. Il s'agit d'un (désormais classique) cas de ransomware, les pirates exigeant une rançon de 10 millions d'euros. L'hôpital fonctionne depuis en mode dégradé.

 


Lors de ce déplacement, les ministres ont annoncé une enveloppe de 20 millions d'euros qui devra permettre à l'Agence nationale pour la sécurité des systèmes d'information (Anssi) de renforcer son accompagnement des établissements de santé sur le territoire. Il faut dire que la liste des victimes commencent à se faire longue, avec notamment les hôpitaux de Dax, Vitry-le-François, Saint-Gaudens, ou encore de l'Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) parmi les victimes recensées.

 


En attendant, le CHSF a commencé à transférer ses patients à risque, c'est-à-dire ceux se trouvant dans un état instable ou nécessitant des soins importants. Les consultations, les soins programmés en hôpital de jour et les accouchements restent cependant assurés. Les consultations et accouchements restent assurés. On notera que cette vulnérabilité face aux attaques informatiques n'a pas été mitigée par le fait que le Centre hospitalier est relativement récent. Il avait en effet été inauguré le 23 janvier 2012. La sécurité informatique n'avait sans doute, comme souvent, pas été une priorité.

 

Source : www.usine-digitale.fr/

Date : 26/08/2022

Auteur : JULIEN BERGOUNHOUX

Google a contré la plus puissante cyberattaque de l’histoire

28/08/2022

Google a contré la plus puissante cyberattaque de l’histoire

Parmi les attaques informatiques les plus courantes, il y a les attaques par DDoS ou par déni de service distribué qui consistent à bombarder un service en ligne de requêtes afin de rendre celui-ci hors service. Mais fort heureusement, les protections disponibles pour faire face à ce type d’attaque sont également de plus en plus évoluées.

 

Par exemple, au mois de juin, Cloudflare a indiqué avoir pu mitiger une attaque de grande ampleur qui ciblait l’un des clients de son offre gratuite. Il s’agissait d’une attaque de DDoS HTTPS (le fait qu’il s’agisse d’une attaque HTTPS nécessite plus de moyens) qui a envoyé 212 millions de requêtes en 30 secondes.

 

Google parvient à contrer une attaque DDoS HTTPS à 46 millions de requêtes par seconde


Et récemment, Google a évoqué un nouveau record. Le premier juin, un client de son service Google Cloud a été la cible d’une attaque DDoS HTTPS avec un pic de 46 millions de requêtes par seconde. D’après les explications de la firme de Mountain View, c’est la plus importante attaque de ce type jamais enregistrée et elle était 76 % plus importante que celle qui a été contrée par Cloudflare.

 

Pour nous donner une idée de l’importance de cette attaque, Google explique que c’est comme recevoir le nombre journalier de requêtes de Wikipédia (l’un des 10 sites les plus visités dans le monde) en seulement 10 secondes.

 

Mais fort heureusement pour le client ciblé, les systèmes de protection de Google ont été en mesure de contrer cette puissante attaque DDoS. La protection Cloud Armor de Google Cloud a été capable de détecter cette attaque très tôt, ce qui a permis le déclenchement de mécanismes de protection.

 

« Cloud Armor a alerté le client avec une règle de protection recommandée qui a ensuite été déployée avant que l’attaque ne prenne toute son ampleur. Cloud Armor a bloqué l’attaque en veillant à ce que le service du client reste en ligne et continue à servir ses utilisateurs finaux », assure la firme de Mountain View.

 

« L’équipe de sécurité réseau de notre client a déployé la règle recommandée par Cloud Armor dans sa politique de sécurité, et elle a immédiatement commencé à bloquer le trafic d’attaque », raconte également Google. « Dans les deux minutes qui ont suivi, l’attaque a commencé à monter en puissance, passant de 100 000 rps à un pic de 46 millions de rps. »

 

Selon Google, la taille des attaques va continuer à évoluer


Puis, comme Cloud Armor bloquait déjà le trafic d’attaque, le site du client a continué à fonctionner normalement. L’intensité de l’attaque a ensuite progressivement baissé, se terminant finalement 69 minutes.

 

« Vraisemblablement, l’attaquant a probablement déterminé qu’il n’avait pas l’impact souhaité tout en engageant des dépenses importantes pour exécuter l’attaque », estime Google.

 

Et si l’ampleur de cette attaque, dont un client de Google Cloud était la cible, est impressionnante, la firme prédit que la taille des attaques informatiques va continuer à évoluer. Ainsi, celle-ci la firme met en lumière la mise en place de protections adéquates, comme celles proposées par son offre cloud.

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