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"Le multimédia à portée de tous"
11, Avenue de Fondeyre
31200 Toulouse
19/06/2022
En d’autres termes, tout bug ou vulnérabilité découverts dans Internet Explorer à partir de maintenant ne sera pas corrigé, car Microsoft retire le navigateur et encourage les utilisateurs à passer à Microsoft Edge.
Cela n’a guère de sens de discuter de l’héritage d’Internet Explorer, mais il fut un temps où il était le navigateur numéro un dans le monde. Cependant, les navigateurs tiers ont évolué à un rythme très rapide, alors qu’Internet Explorer ne l’a pas fait, de sorte que l’application de Microsoft a lentement mais sûrement perdu la bataille.
Maintenant que Microsoft s’investit pleinement dans Microsoft Edge, l’entreprise espère que la transition d’Internet Explorer ne sera pas aussi douloureuse qu’il y paraît.
Microsoft propose un mode IE dédié dans Microsoft Edge, de sorte que les utilisateurs peuvent toujours charger certains sites Web dans ce mode de compatibilité.
« Si vous êtes un consommateur utilisant Internet Explorer à la maison, nous vous recommandons de passer à Microsoft Edge avant le 15 juin 2022, pour commencer à profiter d’une expérience de navigation plus rapide, plus sécurisée et plus moderne », a déclaré Microsoft dans une précédente annonce. « La bonne nouvelle : vous l’avez probablement déjà sur votre appareil. Recherchez “Microsoft Edge” à l’aide de la boîte de recherche de Windows 10 ou cherchez l’icône. Si vous ne l’avez pas, vous pouvez facilement le télécharger ici. Nous avons également cherché à simplifier la mise à niveau vers Microsoft Edge. Une fois que vous avez choisi de passer à Microsoft Edge, il est facile de transférer vos mots de passe, vos favoris et autres données de navigation d’Internet Explorer en quelques clics. Et si vous tombez sur un site qui nécessite Internet Explorer pour s’ouvrir, Microsoft Edge intègre le mode Internet Explorer pour que vous puissiez toujours y accéder ».
Le temps est venu pour Internet Explorer, mais alors que c’était l’un des principaux navigateurs du monde à un moment donné, il est difficile de croire qu’il manquera à trop de gens de toute façon.
Source : www.blog-nouvelles-technologies.fr/
Date : 15/06/2022
Auteur : Yohann POIRON
12/06/2022
En février 2022, la CNIL annonçait des mises en demeure à l’encontre de sites web français qui utilisaient Google Analytics, estimant que l’usage de cet outil était une violation du RGPD, en raison de transferts de données vers les États-Unis.
Aujourd’hui, la CNIL fait le point sur la situation pour aider les acteurs du web à comprendre pourquoi certains paramétrages de l’outil ne sont pas suffisants pour être en conformité et propose une solution opérationnelle : l’utilisation d’un proxy.
La modification du paramétrage des conditions de traitement de l’adresse IP ne suffit pas pour être en conformité
À la suite de cette prise de position de la CNIL en février dernier, certains professionnels du web ont modifié leur paramétrage des conditions de traitement de l’adresse IP mais cela n’est pas suffisant selon l’autorité administrative française car les données continuent d’être transférées aux États-Unis.
Autre paramétrage qui ne suffit pas : le chiffrement de l’identifiant généré par Google Analytics, ou bien du remplacement de celui-ci par un identifiant généré par l’opérateur du site. La raison avancée par la CNIL : « cela n’apporte que peu ou pas de garanties supplémentaires contre une éventuelle réidentification des personnes concernées, principalement du fait de la persistance du traitement de l’adresse IP par Google. »
Quel est le principal problème pour la CNIL ?
La problématique principale mise en avant par la CNIL : « le contact direct, par le biais d’une connexion HTTPS, entre le terminal de la personne et des serveurs gérés par Google. Les requêtes qui en résultent permettent à ces serveurs d’obtenir l’adresse IP de l’internaute ainsi que de nombreuses informations sur son terminal. Celles-ci peuvent, de manière réaliste, permettre une réidentification de celui-ci et, en conséquence, l’accès à sa navigation sur l’ensemble des sites ayant recours à Google Analytics. »
Une solution complexe proposée : l’utilisation d’un proxy
La CNIL recommande d’utiliser un serveur mandataire (un proxy) pour rompre le contact direct entre le terminal de l’internaute et les serveurs de Google. L’idée est de garantir que l’ensemble des informations transmises ne permet en aucun cas une réidentification de la personne.
Dans son blog post, la CNIL liste toutes les mesures nécessaires à mettre en place pour que la proxyfication soit valable et les conditions d’hébergement adéquates. Mais mettre en place un proxy correctement configuré ne se fait pas en un claquement de doigts, et la CNIL en a conscience : « La mise en œuvre des mesures décrites ci-dessous (ndlr : la proxyfication) peut se révéler coûteuse et complexe et ne permet pas toujours de répondre aux besoins opérationnels des professionnels. »
Le moment de changer d’outil de web analytics ?
Est-ce le moment de changer de solution de web analytics ? La question se pose. Dans son blog post, la CNIL invite d’ores et déjà les acteurs du web à se tourner vers d’autres solutions ne réalisant pas de transfert de données personnelles en dehors de l’Union européenne… Le début de la fin pour Google Analytics en France ?
La CNIL a publié une FAQ sur ses mises en demeure de la CNIL concernant l’utilisation de Google Analytics. Vous y retrouvez notamment une liste d’outils alternatifs de mesure d’audience.
Source : www.blogdumoderateur.com/
Date : 09/06/2022
Auteur : Estelle Raffin
06/06/2022
″[I]t’s important that these people be at the office, in my view,” Schmidt, 66, tells CNBC Make It, arguing that for decades, the in-office style has been proven effective. “I’m a traditionalist.”
Starting Monday, Google’s hybrid work arrangement kicked off, with most employees expected to be in the office at least three days per week. Schmidt, who served as Google’s CEO from 2001 to 2011, helped transform the then-young Silicon Valley start-up into today’s $1.9 trillion global tech behemoth — and credits in-office work for much of that growth.
“We spent decades having these conversations about people being close together ... the discussion at the coffee table and going to coffee,” Schmidt says. “Remember all of that? Was that all wrong?”
Schmidt says it’s not just a matter of nostalgia: There are practicalities to working together in person. For example, he says that conversations about professionalism — which might be particularly necessary at companies full of young employees — are much harder to have virtually.
When Schmidt started at Google, for example, the company had “an awful lot of college students who were behaving as though the workplace was like college,” he says. “And I used to say to them, ‘This is not college. This is a professional thing, you can’t do that. And, or, it might be illegal. So please stop, now.’”
Younger employees, particularly those between the ages of 25 and 35, can also use in-office settings to more effectively develop their management styles, Schmidt says. For him, that includes learning about meeting etiquette, presentation skills, workplace politics and dealing with competitors, both internally and externally.
“In terms of their age, that’s when they learn,” he says. “If you miss out [on that] because you are sitting at home on the sofa while you’re working, I don’t know how you build great management. I honestly don’t.”
There are exceptions, Schmidt notes: Some workers might have specialized roles that don’t require a lot of in-person communication, others might deeply dislike the office’s social nature and many probably aren’t looking forward to reintegrating lengthy commutes into their schedules.
Still, Schmidt says, a largescale movement to permanently work remotely would deny at least 30 to 40 years of workplace experience.
“I think there is a lot of evidence that humans are social,” he says. “And that the current virtual tools are not the same as the informal networks that occur within a corporation.”
Source : www.cnbc.com/
Date : 05/04/2022
Auteur : Jade Scipioni
29/05/2022
En cas de vente à distance, sur Internet ou hors d'un magasin, l'information préalable qu'un consommateur doit recevoir du vendeur est renforcée, selon un décret daté du 25 mars 2022.
La liste comprend 15 obligations à respecter, au lieu de 6 auparavant. Parmi les plus importantes, on peut citer :
D'autre part le formulaire de rétractation, à fournir obligatoirement et dont le modèle est strictement défini, doit notamment comprendre l'adresse électronique du fournisseur, ce qui n'était pas nécessaire auparavant.
Ce décret est le dernier élément d'application de l'ordonnance n° 2021-1734 du 22 décembre 2021, transposant en droit français la directive européenne du 27 novembre 2019, relative à la modernisation de la protection des consommateurs.
Ses dispositions entreront en vigueur le 28 mai 2022. Elles visent à renforcer la protection du consommateur notamment dans les transactions transfrontalières, de plus en plus nombreuses dans les ventes sur Internet, en améliorant l'information préalable qui doit être communiquée à l'acheteur et en aggravant les sanctions en cas d'infraction.
Les garanties doivent être clairement précisées, de même que les prix antérieurs dans les annonces de réduction. Les clauses abusives, les faux avis de consommateurs sont plus sévèrement réprimés, au titre des pratiques commerciales trompeuses.
22/05/2022
Si vous vous intéressez de près ou de loin aux Core Web Vitals et à la notion de « Page Experience » au sens googlien du terme, vous analysez certainement les trois critères qui constituent la « web performance » pour le moteur de recherche : LCP, CLS et FID. Et vous avez certainement constaté que, si LCP et CLS sont très changeants d'un site à l'autre, le critère FID ne servait pas à grand chose puisqu'il était validé sur 99,9% des sites web. En clair, les Core Web Vitals, c'est le LCP et le CLS. Point. Un critère non différentiant comme le FID n'a donc pas grand intérêt pour mesurer une situation.
Et Google a bien dû constater la chose, puisque cela fait plusieurs mois qu'il travaille à remplacer le FID par un autre critère. Et ces travaux avancent puisque l'heureux élu pourrait bien être le critère INP pour Interaction to Next Paint, comme cela a été annoncé à l'événement Google I/O la semaine dernière.
Grosso modo, INP mesure la réactivité. C'est une métrique qui vise à représenter la latence d'interaction globale d'une page en sélectionnant l'une des interactions les plus longues qui se produisent lorsqu'un utilisateur visite une page. Pour les pages comportant moins de 50 interactions au total, INP représente l'interaction présentant la plus mauvaise latence. Pour les pages comportant de nombreuses interactions, INP correspond le plus souvent au 98e percentile de la latence d'interaction.
" Représentation visuelle d'une réactivité bonne ou mauvaise lorsqu'une image en taille réelle est chargée à partir d'une galerie de vignettes. À gauche, la réactivité est mauvaise car l'image doit être téléchargée avant d'être affichée, ce qui implique un délai important. À droite, la réactivité est bonne car un indicateur de chargement apparaît immédiatement après la demande de l'image, et l'image demandée finit par la remplacer." Source : Google
Nous vous parlerons de façon plus approfondie du critère INP dans un prochain article du site Réacteur, dès que le remplacement de FID sera officiel. Et selon Google, cela pourrait se faire à assez courte échéance, si on en croit sa communication à ce sujet : « Nous nous attendons à ce que le score INP fournisse une meilleure boussole aux sites Web pour améliorer la réactivité et les performances à l'avenir. Nous prendrons des mesures pour fournir des orientations plus concrètes sur cette mesure en 2022-23. »
Source : www.abondance.com/
Auteur : Olivier Andrieu
Date : 19/05/2022