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"Le multimédia à portée de tous"
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08/01/2023
Non, les blogs ne sont pas démodés ! Bien au contraire, en 2022, 77% des personnes lisent régulièrement des blogs sur Internet. Cependant, il existe un grand nombre de blogs (570 millions en 2021) et ce chiffre est en constante évolution. Le premier a fait son apparition le 1er janvier 1994 avec le journaliste américain Justin Hall. A cette période, les gens s’en servaient principalement pour raconter leur vie, partager leur expérience personnelle et donner des conseils. Aujourd'hui, les blogs sont partie prenante de toutes les stratégies de communication. Ils en sont un axe essentiel et un canal particulièrement important pour la vente en ligne, entre autres.
Dans un premier temps, son étymologie. Blog est issu de l’aphérèse d’un mot composé, né de la contraction de Web log avec log signifiant registre ou journal. Ce terme a été employé pour la première fois par Jorn Barger en 1997.
Maintenant, il faut définir ce qu’est le blogging. Il s’agit d'une page web animée par une ou plusieurs personnes. Ces personnes communiquent et publient régulièrement des actualités, des liens, des photos ou de courts textes. Le blog est donc une succession d’articles organisés et classés par genre, catégorie, dates…
Le blog est un outil marketing très puissant qui peut avoir beaucoup de portée. Il peut s’agir d’une page internet reliée, ou non, à un site. Il va donc permettre d’améliorer et de développer l'interactivité de celui-ci et de mettre en valeur services et produits proposés.
Rédiger des articles de blogs régulièrement, qui traitent de différents sujets, permet d'améliorer la visibilité sur Internet et de toucher plus d’internautes. Le blog est un outil non négligeable pour booster le référencement naturel d’un site ou d’une page web et l’un des plus faciles.
Petit rappel :
Également appelé SEO, le référencement naturel est l’art de bien se positionner dans Google pour améliorer sa visibilité en ligne.
Lorsqu'un article est rédigé, il faut l’écrire pour répondre à une demande spécifique en mettant en avant l’offre de produits ou de services. Il ne faut pas avoir peur de se renseigner sur les principaux mots-clés recherchés par les internautes et de les inclure au texte. Ensuite, il faut le rédiger avec pertinence pour l’intégration de ces mots-clés.
En termes de visibilité et de référencement, le blog permet aussi d’améliorer le netlinking. Tant pour le maillage interne, dont les moteurs de recherches raffolent et qui permet de mieux indexer les pages et plus rapidement, que pour les liens externes qui aide dans le référencement et donne à Google une preuve de confiance ce qui augmentera l’autorité du site.
En effet, si le produit n’est pas connu ou pas suffisamment référencé, le blog permettra de gagner du trafic grâce à sa visibilité.
Tous les articles pertinents apparaîtront aux yeux de tous ainsi que la qualité des produits et / ou services et des compétences que l’entreprise a à offrir. Un article sur les dernières actualités dans le secteur de ladite entreprise, ou une explication détaillée de son offre, qui se voit répondre à un grand nombre de demandes, permettront d’attirer de nombreux prospects et ainsi, les fidéliser par la suite.
De plus, mettre en avant l’histoire, l'engagement ou les valeurs de l’entreprise dans la rédaction des articles, donnera une image professionnelle de celle-ci et créera un lien avec les visiteurs de la page.
Les réseaux sociaux semblent désormais inéluctables à une stratégie de communication et il est important de les intégrer mais il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier.
La création d’un blog offre également la possibilité à l’entreprise, comme à sa communauté, d'interagir sur les divers articles. Ainsi, cela favorise le développement de l’audience et permet de communiquer avec celle-ci indépendamment des autres plateformes.
De plus, au-delà d’avoir la main sur la façon dont le contenu est visité, cela offre la possibilité de générer des réactions, des problématiques, des interrogations et des suggestions qui permettent d’améliorer le futur contenu et de créer un climat de confiance avec les interlocuteurs. Ainsi, l’image de marque est favorisée.
Grâce au blog, l’entreprise peut donner un ton à sa marque, ce que l’on appelle plus communément : le ton de marque.
A travers vos articles, elle peut mettre en avant son côté : accompagnateur, instructif, fiable, sérieux et professionnel. Ainsi, les interlocuteurs percevront de l’entreprise les valeurs qui la fondent ainsi que sa culture et ses employés.
Le blog offre l’occasion de donner une image moins institutionnelle et plus personnelle, plus proche, plus sympathique de l’entreprise.
Il existe 8 types de blogs différents afin de faciliter le positionnement dans une de ces catégories :
Avant de commencer quoi que ce soit, il est nécessaire de définir les objectifs du blog. En effet, il y a lieu de savoir pourquoi le blog a été créé. Pour cela, il y a la possibilité de se référer aux 8 types de blogs énoncés plus haut afin de se positionner pour pouvoir ensuite en extraire des objectifs :
Selon le type de blog sélectionné et les objectifs souhaités, la cible doit être définie. Pour s’aider par la suite et pouvoir s’y référer plus facilement et plus rapidement, un buyer persona peut être créé.
Petit rappel :
Un buyer persona permet de se mettre à la place du client afin de mieux appréhender ses besoins. Une telle réflexion permet de définir comment l’entreprise peut l'aider à résoudre ses problèmes.
Désormais, l’entreprise sait à qui elle doit s’adresser. Maintenant, il faut choisir comment s’adresser à cette cible et se baser sur ce ton pour la rédaction des articles. Plusieurs possibilités :
Les sujets d’articles sélectionnés doivent correspondre à la cible (donc persona). Pour éviter le syndrome de la page blanche :
Un blog ça prend du temps et lorsqu’il faut fournir un contenu de qualité ce n’est pas une mince affaire. Plusieurs conseils à suivre :
Écrire dans un “bon français” est primordial. Inutile de préciser que les fautes d'orthographe sont à bannir. Au-delà de ça, c’est essentiel pour le référencement du blog :
Après avoir rédigé l’article, il faut s’assurer que celui-ci soit lu, partagé et réponde aux objectifs fixés. Pour cela :
Il ne faut pas avoir peur d’écrire “trop” et de donner libre court à sa fibre rédactionnelle. Les lecteurs veulent du contenu long et pertinent, avec en moyenne 2 000 à 3 000 mots.
De plus, Google privilégie également les articles longs en termes de référencement. Ne pas négliger les photos et les vidéos pour faciliter sa lecture et la rendre agréable.
Même si cela peut porter à confusion, c’est aussi très important d’inclure dans le calendrier éditorial du contenu court pour les personnes qui consultent les informations directement sur leur téléphone. Une phrase sur un ordinateur peut vite devenir un paragraphe sur un téléphone.
Personne ne doit être oublié dans la stratégie de communication, chaque lecteur a son importance.
Les articles de blog doivent être publiés à intervalles réguliers (même jour, même heure). Cela permettra à l’entreprise de s’immiscer dans le quotidien de des lecteurs.
Des publications régulières favorisent également le passage des robots de Google sur les pages et amélioreront leur indexation.
Les articles invités ont pour but de faire connaître les produits d’une entreprise mais également ceux d’une autre. Il s’agit là d’un échange de bon procédé ou chaque entreprise peut partager son expertise et son savoir-faire en partageant leur audience.
Ils offrent la possibilité à chacune d’elles d’améliorer leur réputation.
Plus d’infos : https://www.carry-web.com/
Sources :
- https://www.codeur.com/blog/idee-publication-instagram/
- https://www.codeur.com/blog/tendances-blogging/
- https://www.blogduwebdesign.com/5-outils-de-monitoring-seo-pour-booster-votre-referencement/
19/12/2022
Google vient d’annoncer un changement majeur pour mieux évaluer ses résultats de recherche et améliorer son système de classement : "E-A-T gagne un E : l’expérience. En plus de l’expertise, de l’autorité et de la fiabilité, le contenu démontre-t-il un certain degré d’expérience ?".
Le moteur de recherche précise ce qu’il sous-entend par « degré d’expérience » du contenu en livrant quelques exemples : contenu sur l’utilisation réelle d’un produit, compte-rendu d’une visite d’un lieu, partage d’expérience d’une personne… Google finit par conclure : « Dans certaines situations, ce que vous appréciez le plus, c’est le contenu produit par quelqu’un qui a une expérience directe du sujet en question. »
Ce nouveau concept E-E-A-T fait partie de la dernière mise à jour des « search rater guidelines » de Google, qui met en avant « l’importance du contenu créé pour être original et utile pour les gens. »
On fait le point sur le nouvel acronyme E-E-A-T de Google :
Pour rappel, voici le fonctionnement de Google :
Google va apporter plus d’importance à un contenu ayant un score élevé E-E-A-T surtout « lorsque le thème abordé peut avoir un impact significatif sur la santé, la stabilité financière ou la sécurité des personnes, voire sur le bien-être de la société dans son ensemble. »
Source : www.blogdumoderateur.com/
Auteur : Estelle Raffin
Date : 05/12/2022
04/12/2022
Hootsuite dévoile son rapport « Social Trends 2023 » qui met en exergue les tendances émergentes qui façonneront le paysage social pour l’année à venir. Cette étude s’appuie sur un sondage réalisé auprès de 10 600 spécialistes du marketing dans 109 pays et des entretiens avec des dizaines de professionnels, de dirigeants, d’observateurs et de partenaires du marketing social. L’objectif : permettre aux marques de rester compétitives sur les réseaux sociaux qui évoluent rapidement et qui sont impactés par les événements économiques.
Tandis que les grandes entreprises sont forcées de resserrer leurs budgets, du fait de la crise économique, elles investissent moins dans le marketing d’influence. Selon le rapport, cela représente une opportunité pour les petites entreprises de collaborer avec des créateurs de contenu. « Pour les petites entreprises, 2023 promet d’être une année de diminution des ressources, de réduction des effectifs et de budgets réduits qui vont complexifier leurs défis marketing. Pour atténuer la pression, les dirigeants de petites entreprises commenceront à s’appuyer sur les créateurs, eux-mêmes délaissés par les grandes entreprises », estime Hootsuite.
En effet, la collaboration avec des influenceurs reste une pratique mineure dans les petites entreprises. Le rapport d’Hootsuite révèle ainsi que seulement 35 % des organisations de 100 à 999 salariés et 28 % des entreprises de 1 à 99 salariés travaillent avec des influenceurs. Le principal défi : la volatilité du coût des collaborations. Pour encourager les PME à se lancer dans le marketing d’influence, Hootsuite précise que la plupart des entreprises ne passent pas par des agences pour trouver des créateurs, limitant le coût de cette démarche.
D’autre part, des outils de marketing d’influence peuvent être de véritables atouts pour les petites entreprises. En effet, ces plateformes permettent d’accéder à une base de données d’influenceurs et de faciliter la prise de contacts ainsi que la gestion des campagnes.
Le rapport affirme que les données qui sont analysées lorsqu’il s’agit de démontrer la valeur des réseaux sociaux varient en fonction du niveau de responsabilités. En 2023, les profils opérationnels et dirigeants devront se mettre d’accord pour analyser soit le revenu généré par les réseaux sociaux, soit le nombre de pages vues, soit le temps passé sur une page. « En 2023, les opérationnels du marketing et les dirigeants doivent avoir une conversation plus approfondie sur les objectifs pour s’assurer que tout le monde est sur la même longueur d’onde. Si cette conversation n’a pas lieu et que le social reste dans le budget marketing au cours de l’année prochaine, il y a un risque que les dirigeants retirent l’investissement s’ils ne comprennent pas vraiment la valeur du canal », affirme Hootsuite.
Pour l’année à venir, les recommandations du spécialiste de la gestion des réseaux sociaux sont les suivantes :
Suivre les métriques qui correspondent à vos objectifs commerciaux,
Créer des rapports sur le ROI qui montre le véritable impact des réseaux sociaux,
Ne pas foncer sur des tendances dans le seul but d’obtenir des likes et commentaires, au détriment de ce qui rend votre marque unique.
Selon le rapport, les responsables marketing cessent de courir après les nouvelles fonctionnalités et deviennent plus stratégiques, en créant un contenu plus créatif et unique, pour moins de plateformes. Alors que les réseaux sociaux tentent de se concurrencer en proposant des fonctionnalités similaires, Instagram copiant TikTok ou TikTok s’inspirant fortement de BeReal, les plateformes finissent par toutes se ressembler. Ainsi, Hootsuite précise que 53 % des spécialistes marketing interrogés affirment poster du contenu sur plusieurs plateformes sociales avec le moins de changements possible. Seuls 18 % des répondants disent créer des publications différentes pour chaque plateforme.
Or, le spécialiste de la gestion des réseaux sociaux souligne que si la publication croisée fait gagner du temps, les résultats ont tendance à être peu probants. En outre, l’enquête menée par Hootsuite montre que les spécialistes du marketing qui créent du contenu unique pour chaque réseau social sont beaucoup plus confiants sur la valeur de ce contenu.
Selon Hootsuite, en 2023, « les spécialistes du marketing les plus confiants passeront moins de temps à se soucier de la prochaine fonction copiée à utiliser et plus de temps à explorer les plateformes qui reflètent le mieux leurs objectifs commerciaux. Ils se concentreront sur la création de contenu le mieux adapté à ces médias sociaux, plutôt que d’essayer de suivre chaque changement de niveau de fonctionnalité que les réseaux leur proposeront ».
Tandis que le commerce social a explosé sur les marchés de l’Extrême-Orient, les spécialistes du marketing en Occident sont confrontés à un manque de confiance de la part des consommateurs, qui les empêche de bénéficier de cette opportunité.
Selon une étude menée par Accenture, le 1er frein chez les acheteurs concerne la crainte que leurs achats ne soient pas protégés (48 %), suivi par le manque de politiques de retours et remboursements claires (37 %). Interrogés sur les obstacles qui peuvent freiner les acheteurs sur les réseaux sociaux, 37 % des spécialistes marketing pensent que la saisie d’informations de paiement sur les plateformes représente un problème pour les utilisateurs.
Selon Hootsuite, les spécialistes du marketing qui surmontent cette barrière de la confiance auront l’opportunité d’attirer une vague de nouveaux acheteurs et inciter leurs clients existants à dépenser plus. « En 2023, nous verrons probablement les fonctionnalités de commerce social réduites. De nombreux spécialistes du marketing et dirigeants cesseront d’investir dans leurs vitrines sociales. Mais il est beaucoup trop tôt pour considérer la fermeture par Facebook de sa fonctionnalité de commerce en direct ou l’abandon par TikTok de ses projets de live shopping aux États-Unis comme un indicateur de leurs ambitions sociales globales. Les marques proactives continueront de voir l’opportunité à venir et elles apprécieront de voir leurs concurrents abandonner tôt les plans de commerce social, laissant le terrain de jeu grand ouvert pour ceux qui ont la patience de s’accrocher », analyse Hootsuite.
Si Google est la référence en matière de recherche, cela est en train de changer. En effet, Hootsuite montre l’émergence d’une concurrence nouvelle, alors que les jeunes générations se rendent sur des plateformes telles que TikTok et Instagram pour rechercher des restaurants, acheter des vêtements ou décider où partir en vacances. Le rapport montre notamment que de plus en plus d’utilisateurs de moins de 25 ans se tournent vers les réseaux sociaux pour rechercher et évaluer des marques.
La transition de la recherche du web vers le social sera longue et générationnelle. Ne soyez pas trop pris dans les gros titres sur la mort imminente de la recherche sur Google alors que, pour la grande majorité des gens, c’est toujours l’un des principaux moyens d’en savoir plus sur votre entreprise. Mais la transition vers les médias sociaux en tant que principal moteur de recherche est en cours, et il n’est pas trop tôt pour commencer à se préparer. En 2023, les spécialistes du marketing des médias sociaux et les propriétaires de petites entreprises qui souhaitent se développer devraient commencer à maîtriser les bases de l’optimisation de la recherche sur les réseaux sociaux, affirme Hootsuite.
Durant la pandémie de Covid-19, l’e-commerce, et autres services en ligne, ont vu leurs activités exploser. Aussi, les entreprises qui ont réussi à réorganiser leur expérience client pendant la pandémie ont excellé en 2021. Le rapport met en exergue que les restrictions étant levées et les acheteurs ayant retrouvé le chemin des magasins physiques, de nombreuses entreprises n’ont pas réussi à maintenir la qualité de leurs services numériques en 2022. En outre, une étude menée par le cabinet Forrester montre que la qualité globale de l’expérience client a chuté pour plus de 19 %, et que la satisfaction des clients est à son niveau le plus bas depuis 17 ans.
Pour Hootsuite, les entreprises qui cherchent à maîtriser leurs dépenses tout en améliorant l’efficacité de leurs services client en ligne devront se tourner vers des solutions de chatbot et autres outils d’IA conversationnels en 2023.
En 2022, les spécialistes du marketing ont plus largement pris en charge le service client sur les réseaux sociaux. Ainsi, près de la moitié des organisations (49 %) ont déclaré que le service client sur les réseaux sociaux était généralement ou exclusivement la responsabilité de l’équipe marketing.
Cependant, de nombreux spécialistes du marketing ne se sentent pas équipés pour assurer cette tâche. Selon une enquête du CMO Council et d’IBM, seulement 21 % de ces professionnels estiment qu’ils font du bon travail concernant le service client sur les réseaux sociaux. « Les réseaux sociaux n’ont jamais été conçus pour être un canal de service client. Mais il est impossible d’ignorer ce canal, aujourd’hui. […] Une marque n’est pas seulement un logo ou une promesse ; c’est un résultat. C’est l’attente d’un client à propos d’un produit, d’un service ou d’une entreprise. Et il est de la responsabilité de chaque spécialiste du marketing de s’assurer que cette attente ne soit pas ignorée par des DM sans réponse », analyse Hootsuite. Pour répondre à cette problématique, permettre à ses équipes marketing de se former sur ce champ spécifique est indispensable.
Source : www.blogdumoderateur.com/
Auteur : Héloïse Famié-Galtier
Date : 18/11/2022
27/11/2022
Dans un post, Google annonce la mise à disposition d’un nouveau guide qui vise à permettre aux créateurs de se familiariser avec les systèmes de classement des résultats de recherche. Ce guide répertorie les systèmes actuellement utilisés dans la recherche Google, accompagné d’une brève explication pour chacun d’entre eux. De plus, Google introduit une nouvelle terminologie en distinguant les « systèmes de classement » et les « mises à jour ».
« Dans le passé, le terme « mise à jour » a souvent été utilisé comme nom d’un système de classement particulier, notamment lorsqu’un nouveau système était déployé, explique Google, à l’avenir, nous serons plus précis dans notre formulation pour différencier les « systèmes » des « mises à jour ». Nous aurons toujours des mentions telles que « mise à jour du contenu utile » ou « mise à jour des avis sur les produits », mais lorsque cela sera possible, nous les expliquerons comme des mises à jour des systèmes respectifs, comme le « système de contenu utile » et les « systèmes d’avis sur les produits » . Nous actualiserons également nos pages d’aide pour refléter ce changement de terminologie au fil du temps ».
Ainsi, il convient de noter qu’un « système » fonctionne constamment en arrière-plan, tandis qu’une « mise à jour » désigne une modification ponctuelle des systèmes de classement. Par exemple, le système de contenu utile, Helpful Content Update, fonctionne toujours en arrière-plan lorsque Google fournit des résultats de recherche, bien qu’il puisse recevoir des mises à jour pour améliorer son fonctionnement. Les mises à jour de l’algorithme de base et les mises à jour contre le spam sont d’autres exemples de modifications ponctuelles des systèmes de classement.
Selon le guide, voici les systèmes de classement actuellement utilisés par Google, dont certains sont multiples et d’autres uniques :
Par ailleurs, Google signale que ces systèmes sont aujourd’hui obsolètes :
Source : www.blogdumoderateur.com/
Auteur : Héloïse Famié-Galtier
Date : 22/11/2022
13/11/2022
Le comportement des consommateurs en ligne a radicalement pris un virage avec l’avènement des réseaux sociaux. Pour les marques, il s’agissait pour elles de l’opportunité de se rapprocher du consommateur, en créant des espaces conversationnels pour mieux répondre à leurs besoins et leurs attentes.
Les communautés établies au sein des réseaux sociaux comme les groupes d’échanges, ont ainsi permis de mieux connaitre le consommateur et d’interagir en direct avec lui. De là sont nés de très nombreux métiers visant à améliorer l’expérience client au sens large du terme ; community management, webmarketing, data analyst etc.
Le e-commerce a littéralement explosé durant toutes ces dernières années et il a même vu un pic considérable être atteint lors de la crise du Covid, notamment pour des acteurs phares comme Amazon.
Afin de mieux comprendre le consommateur et d’améliorer sa qualité de service, les marques peuvent se tourner vers des études solides en la matière. On sait que la crise a considérablement impactée les consommateurs dans leurs habitudes d’achats et notamment en ligne.
Ce fut une véritable période pivot pour le e-commerce où il était question de se réinventer pour certains acteurs, d’innover pour d’autres et surtout de suivre un rythme soutenu du fait d’un net replis sur Internet. Il apparaissait donc opportun de suivre ces évolutions et de dresser un portrait du consommateur au fil des années.
C’est alors l’occasion d’introduire le rapport mondial 2022 sur le comportement des consommateurs en ligne. Un rapport initié par ChannelAdvisor* qui traite des principales tendances en matière d’achats en ligne. Il fait suite à un sondage réalisé auprès de plus de 5000 acheteurs en ligne, actifs sur les pays suivant :
* leader en technologie e-commerce depuis 2001
Les consommateurs interrogés couvrent l’ensemble des tranches d’âges de manière assez équilibrée, avec un pic chez les séniors qui représente 933 personnes sur l’échantillon.
Abordons ci-après 5 points que l’on retrouve au sein du rapport, que vous pouvez télécharger via l’encart ci-dessus. Rappelons que le rapport mondial 2022 de ChannelAdvisor propose une étude complète, abordant les nombreux aspects du e-commerce rapportés au consommateur. Le rapport est riche en informations et il est ponctué de nombreuses infographies.
Ce n’est un secret pour personne ! Amazon est incontestablement le pure player qui tire le e-commerce vers le sommet et qui propose l’un des meilleurs services client à ce jour, notamment pours les utilisateurs abonnés à leur service Prime. On peut lui rapprocher son équivalent en Chine, à savoir Alibaba, un autre mastodonte du e-commerce en Asie.
Si Amazon reste la référence du e-commerce, on ne sera pas surpris qu’il est le premier canal d’information sur les produits pour les consommateurs. Ainsi ils vont rechercher les informations, directement sur la marketplace Amazon au dépend d’un moteur de recherche. A ce stade on pourrait presque dire qu’il endosse ce rôle auprès des acheteurs en ligne.
Sur les 6 pays représentés au sein du rapport, tous utilisent majoritairement Amazon à ce titre, sauf l’Australie où le consommateur privilégie encore le moteur de recherche Google.
Nous sommes ici dans le début du parcours d’achat client.
Lorsque vous allez en ligne pour acheter des produits, où commencez-vous votre recherche de produits ?
Si les grosses marketplaces ont les budgets pour communiquer massivement, qu’il s’agisse de display ou d’une stratégie social media solide, ils bénéficient dés lors d’une meilleure popularité. Portées par la visibilité de leur actions en ligne, mais pas que, les marketplaces enregistrent une forte croissance au niveau mondial. Rappelons que les marketplaces majeures proposent toutes une application mobile, passent par du ads et sont très actives sur les réseaux sociaux.
A l’aube du black friday auquel succédera le cyber monday, c’est une course effrénée qui opposera des actions où de forts budgets seront engagés. Ce qui contribue nettement à mettre les marketplaces sur le devant de la scène et à gagner au fil des années cette popularité.
Ainsi les consommateurs ont le choix et à ce titre, ils n’hésitent pas à utiliser plusieurs marketplaces pour faire leurs recherches et acheter leurs produits.
Les touchpoints sont les différents points de contact de nature promotionnelle (commercial, publicité, social) qui permettent de créer le lien entre la marque et les consommateurs. Ils sont utiles à plusieurs niveaux, dans la mesure où les consommateurs peuvent faire face à plusieurs freins et où les besoins et les attentes différeront.
C’est ainsi que l’on peut analyser le comportement des consommateurs et mieux comprendre leurs besoins. De même que le niveau de satisfaction client qui en résulterait. Plus un consommateur utilisera de touchpoints, plus il sera intéressant d’en déterminer les raisons pour mieux le satisfaire.
Combien de marketplaces avez-vous l’habitude d’utiliser pour rechercher ou acheter des produits ?
Si le click & collect a réellement connu son succès durant la crise, il s’est bien maintenu après et poursuit sur sa lancée. Instauré il y a plus de 12 ans par Darty, le click and collect consiste à commander un produit en ligne et à venir le retirer en point de vente. De multiples avantages se dégagent de ce procédé, comme le gain de temps lors d’un passage en magasin, et indirectement le moyen de le faire connaitre par la même occasion.
De plus on évite généralement les frais de port, quand ils ne sont pas minimisés sur la distance entre un point de vente et sa centrale d’achat. La commande est prête et n’a plus qu’à être retirée comme on pourrait le faire à la poste.
C’est néanmoins la crise sanitaire rencontrée qui a permis à de nombreux commerces de continuer à fidéliser leur clientèle, en offrant cette solution. Faire le lien entre le site e-commerce et le point de vente offrait la possibilité de garder le contact avec ses clients et de ne pas perdre le bénéfice de ses actions de communication entres autres.
Au cours des 12 derniers mois, avez-vous utilisé des options Achat en ligne, récupération en magasin (ou récupération à l’extérieur du magasin) lors d’achats en ligne ?
Les adeptes du click & collect ont clairement été les Etats-Unis et l’Australie, avec respectivement 57% et 54% des consommateurs qui ont eu recours au retrait magasin. La France enregistre un petit 42% avec l’Allemagne qui est nettement en retrait avec seulement 19%
Pourcentage de 26-35 ans qui ont utilisé l’option de retrait en magasin (ou en point relais) au cours des 12 derniers mois :
Focus sur les jeunes de 26 à 35 ans qui ont opté pour le retrait de leurs achats en magasin. On voit clairement ci-dessous qu’ils sont les premiers à faire appel à ce levier. L’Allemagne reflète de nouveau un faible pourcentage sur ce segment de consommateurs, face aux autres qui sont plus à même d’avoir recours au click and collect au travers des autres pays représentés.
Ce sont notamment aux Etats-Unis que les 26-35 ans étaient les plus actifs pour recourir au retrait magasin. La France enregistre un 49%, en deçà face au Royaume-Uni et à l’Australie.
Dernier point abordé, le Retail Media, représentant les actions de communication promotionnelles (publicité) sur les lieux de vente ou en ligne, et plus précisément au travers du parcours client en règle générale. On peut donc évoquer l’influence directe de la publicité sur le consommateur pour encourager l’acte d’achat. Amazon étant un précurseur en matière avec de gros moyens.
Ainsi au sein de la marketplace Amazon on peut découvrir des produits sponsorisés mis en avant, tel que sur un moteur de recherche comme Google avec ses annonces en entête des résultats de recherche. Ici il s’agit de voir que le consommateur use aussi d’une marketplace comme moteur de recherche, et qu’il peut être influencé par des annonces directes sur la plateforme.
Voyons du côté consommateur, si Amazon et ses annonces sponsorisées ont eu un impact avéré.
Avez-vous déjà acheté un article sur Amazon après avoir vu une publicité pour ce produit sur Amazon ?
Au cours des 12 derniers mois, avez-vous cliqué sur un produit sponsorisé sur une marketplace ou un site e-commerce ?
L’impact publicitaire est tout de même avéré et démontre que c’est un puissant levier à actionner pour influencer l’acte d’achat et faire connaitre des produits. Les résultats montrent des taux de 30% à 50% sur l’impact positif de la publicité. Il y a donc un fort potentiel à exploiter et à encore affiner pour améliorer la conversion.
Le rapport ChannelAdvisor 2022 sur le comportement des consommateurs en ligne, soulève ainsi de nombreux aspects pour aider et accompagner les entreprises dans leurs choix et leurs stratégies en e-commerce. N’hésitez pas à le télécharger pour prendre connaissance de toutes les précieuses informations à votre disposition.